Tu l’as dit : C’en est fait ; ni… Devant l’assaut prochain et furibo… Ils avancent toujours. C’est sur… Poète de malheur, que ton livre s’… Mais comment osa-t-il échapper à t…
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Sonnet. Ce qui m’excite à t’aimer, ô mon… Ce n’est pas l’heureux ciel que mo… Ce qui m’excite à t’épargner l’off… Ce n’est pas l’enfer sombre et l’h…
Le Vestiaire Le Portemanteau La lumière
Fable XV, Livre II. « Que fais-tu donc en ce bourbier, Où je te vois vautré sans cesse ?… Au pourceau disait le coursier. « Ce que j’y fais ? parbleu ! j’en…
Je ne voie rien qui ne me refigure Ce front, cet œil, ce cheveu jauni… Et ce tétin en bouton finissant, Bouton de rose encor en sa verdure… Son beau sourcil est la juste vout…
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Mourir dans la buée ardente de l’é… Quand parfumé, penchant et lourd c… Le coeur, que la rumeur de l’air b… S’égrène en douloureuse et douce v… Mourir, baignant ses mains aux fra…
Amour ! le seul péché qui vaille q… —En vain dans ses sermons le prêtr… En vain dans son fauteuil, besicle… La maman te dépeint comme un monst… —En vain Orgon jaloux ferme sa po…
Je ne devais pas vous le dire ; Mes pleurs, plus forts que la vert… Mouillant mon douloureux sourire, Sont allés sur vos mains écrire L’aveu brûlant que j’avais tu.
Tes yeux bleus comme deux bluets Me suivaient dans l’herbe fanée Et près du lac aux joncs fluets Où la brise désordonnée Venait danser des menuets.
Le Baiser de ton rêve Est celui de l’Amour ! Le jour, le jour se lève, Clairons, voici le jour ! Le Baiser de mon rêve
Elle est bonne, franche, et telle Que l’amoureux de chez nous Ne courtise et n’aime qu’elle. Et, de vrai, c’est la plus belle, Avec ses Jolis yeux doux.
Et puis arrive la douceur d’un dim… Alors que nos âmes s’éveillent dou… J’effleure ton corps J’effleure ton visage J’effleure tes lèvres
Ses yeux, tout un printemps, éclai… Je marchais ébloui, la tenant par… Elle était le rayon, l’étoile du c… Et tant qu’elle a brillé sur moi,… Ainsi mes jours passaient sans but…
Dénaturée Caricaturale Fantasmagorique Grimace sans ombre Grisâtre et sombre
Si quelque jeune fée à l’aile de s… Sous une sombre et fraîche arcade, Blanche comme un reflet de la perl… Surgissait à mes yeux, au doux bru… De l’écume de la cascade,
Je me souviens de toi enveloppée d… les sourcils froncés le regard sombre et des grandes ailes noires et bri… que moi seul pouvais voir
Petite zingarelle à voix d’or, tu… Et nous ouvrons l’oreille à tes en… Ton accent pur va droit à la sourc… Et réveille en nos cœurs de longs… Sous tes grands cheveux noirs, min…
Venez ce soir, m’amie, à la vespré… Pendant qu’au bourg on danse la bo… Vous passerez par la porte du clos… Et je vous attendrai sous les boul… Près de la source au soleil empour…
Mon besoin de songe et de fable, La soif malheureuse que j’ai De quelque autre vie ineffable, Me laisse tout découragé. Quand d’un beau vouloir je m’avise…
En été dans ta chambre claire, Vers le temps des premiers aveux, (Ce jeu-là paraissait Te plaire) On ouvrait parfois Baudelaire, Avec ton épingle à cheveux,
Or, le sage, parti dès son adolesc… Pour juger les flambeaux qui le de… Savait à quel néant marche la conn… Et confondait la vérité d’une croy… Avec l’or, qui vaudra ce qu’on a d…
Je vends mon vent !!... *** Ahmed Khettaoui / Algérie. **** Je vends mon vent à mes sorcières…
Aux coups de feu la mouette N’a pas changé de chemin, Et sa brune silhouette Sur le ciel rose et carmin Se découpe nette.
Je rêve un frontispice à mes vers.… Fantasque, évoquerait sur le seuil… La fatale beauté d’une Chimère an… Levant vers moi son front cruel et… Pour abuser mon cœur par un espoir…
Tristes circonstances C’est dans la peine que je te voya… Je te voyais tous les jours rejeté… Depuis longtemps tu avais perdu le… Chaque jour, cela devenait de pire…
Sonnet XLV. Ô marâtre nature (et marâtre es-tu… De ne m’avoir plus sage ou plus he… Pourquoi ne m’as-tu fait de moi-mê… Pour suivre ma raison et vivre du…
Sonnet XLVI. Si par peine et sueur et par fidél… Par humble servitude et longue pat… Employer corps et biens, esprit et… Et du tout mépriser sa propre util…
Contrerime L. J’ai vu le Diable, l’autre nuit ; Et, dessous sa pelure, Il n’est pas aisé de conclure S’il faut dire : Elle, ou : Lui.