Wattier n’est pas Watteau : vous… Doux ébats de Cythère à l’ombre d… Convives attablés à de joyeux banq… Ou, sur l’herbe, faisant un déjeun… Beautés à falbalas aimant à se rep…
Parfois de crépuscule pleine Avec la lune sur le cœur, J’ai l’âme flottante et sereine Du jour qui meurt. Je vis sans rêve, sans pensée,
Sonnet. Beauté qui rends pareils à des tem… Es-tu donc à ce point par les dieu… De descendre du ciel sur la prosti… De prêter ta splendeur vivante à d…
Revêtu de mes yeux jour de pluie ; l’eau coule sur mes cris, inonde mes fondations. J’homicide cette course vide avec un couteau
Vrai, nous avons trop d’esprit. Chérie ! Je crois que mal nous en prit, Chérie ! D’ainsi lutter corps à corps
… Les étoiles, lueur bleuâtre, Flambent au ciel limpide et froid, Ranimons la flamme dans l’âtre De notre paradis étroit.
Quand il se fait bien tard, et que… Je promène incertain ma fiévreuse… Tâchant de ramener le sommeil qui… Oh ! pourquoi suis-je donc fatigué… Lorsque vers cet asile où tranquil…
En avant le destin, allons vers l… Devant est notre chemin, au loin e… Nombreux seront les freins, seul m… m’offrira le divin, ouvrant le por… Mais le doute me dépeint, une fres…
On dit : “ Triste comme la porte D’une prison. ” Et je crois, le diable m’emporte ! Qu’on a raison. D’abord, pour ce qui me regarde,
Muse au beau front, muse sereine, Plus de satire, j’y consens. N’offensons pas avec ma haine Le calme éther d’où tu descends. Je chante en ces vers caressants
Sonnet. Le voyageur, debout sur la plus ha… À travers le rideau d’une rose vap… Mesure avec la sonde immense de la… Sous ses genoux tremblants la fuit…
(Sur la prise de Maastricht.) Sonnet. Grand roi, Maastricht est pris, e… Ce miracle était sûr à ta haute co… Et n’a rien d’étonnant que cette h…
Au tour facile, à la phrase nombre… De l’harmonieux Cicéron, Vous unissez la touche vigoureuse De l’historien de Néron ; Tout seconde vos vœux ; la Discor…
Sans feu Paris ne peut plus vivre… Il court, tout crispé de frissons, Secouant sa barbe de givre Et son lourd manteau de glaçons. Sous la laine où le vent pénètre,
Vous connaissez que j’ai pour mie Une Andalouse à l’oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu’au matin. Voyez-la, quand son bras m’enlace,
N’est-ce pas ? en dépit des sots e… Qui ne manqueront pas d’envier not… Nous serons fiers parfois et toujo… N’est-ce pas ? nous irons, gais et… Modeste que nous montre en sourian…
Crépuscule d’été baigné de brouill… Déchiré par le bleu des ardoises d… Le bleu du ciel, le bleu de l’asph… Saignant sur une vitre où des refl… Reflet de la rivière en le feuilla…
Or, malgré ta cruauté Affectée, et l’air très faux De sale méchanceté Dont, bête, tu te prévaux J’aime ta lasciveté !
Les brouillards sont venus, dont l… Charge dès le matin la plaine et l… Pâle et froide vapeur qu’à peine u… Les feuilles que l’eau trempe et q… Tourbillonnent dans l’air ; la bis…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau
Philis, qu’est devenu ce temps Où dans un fiacre promenée, Sans laquais, sans ajustements, De tes grâces seules ornée, Contente d’un mauvais soupé
Ô chevrier ! ce bois est cher aux… Point de houx épineux ni de ronces… À travers l’hyacinthe et le souche… Une source sacrée y germe et coule… Midi brûle là-bas où, sur les herb…
Ces rout’ à tas d’ cailloux où des… S’ rencontr’ avec des ân’, des per… Où pass’ carriol’, patach’, tap’-c… Att’lés d’ bidets pansus quand c’e… Pour moi, c’est des ch’mins d’ vil…
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
Je me souviens de toi enveloppée d… les sourcils froncés le regard sombre et des grandes ailes noires et bri… que moi seul pouvais voir
L’homme de la mer Par de grands vents affolés, A travers des mers déchainées, Un homme se tenait debout, Sa main appuyée sur le genoux.
Pompeïa-station – Vésuve, est-ce… Toi qui fis mon bonheur, tout peti… –Du bon temps où la foi transporta… Sur un bel abat-jour, chez une tan… Tu te détachais noir, sur un fond…
Etna– j’ai monté le Vésuve... Le Vésuve a beaucoup baissé : J’étais plus chaud que son effluve… Plus que sa crête hérissés... —Toi que l’on compare à la femme..…
Ô mer, ô mer immense et triste, qu… Sous les regards mouillés de ces m… Les longs gémissements de tes mill… Lorsque dans ton élan vers le ciel… Ô ciel, ô ciel immense et triste,…
“ Où es-tu ? ", disait-elle, erran… Où des saules trempaient leurs feu… Et des larmes d’argent coulaient d… Quand elle s’arrêtait, les mains s… Et lui, errant aussi sur un sable…