"Derniers vers (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
Dans la feuillée, écrin vert taché… Dans la feuillée incertaine et fle… De fleurs splendides où le baiser… Vif et crevant l’exquise broderie, Un faune effaré montre ses deux ye…
On n’est pas sérieux, quand on a d… —Un beau soir, foin des bocks et d… Des cafés tapageurs aux lustres éc… —On va sous les tilleuls verts de… Les tilleuls sentent bon dans les…
Ma faim, Anne, Anne, Fuis sur ton âne. Si j’ai du goût, ce n’est guères Que pour la terre et les pierres. Dinn ! dinn ! dinn ! dinn ! Mange…
Quand le front de l’enfant, plein… Implore l’essaim blanc des rêves i… Il vient près de son lit deux gran… Avec de frêles doigts aux ongles a… Elles assoient l’enfant auprès d’u…
Sur la place taillée en mesquines… Square où tout est correct, les ar… Tous les bourgeois poussifs qu’étr… Portent, les jeudis soirs, leurs b… —L’orchestre militaire, au milieu…
L’hiver, nous irons dans un petit… Avec des coussins bleus. Nous serons bien. Un nid de baise… Dans chaque coin moelleux. Tu fermeras l’oeil, pour ne point…
Zut alors, si le soleil quitte ces… Fuis, clair déluge ! Voici l’ombr… Dans les saules, dans la vieille c… L’orage d’abord jette ses larges g… Ô cent agneaux, de l’idylle soldat…
A noir, E blanc, I rouge, U vert… Je dirai quelque jour vos naissanc… A, noir corset velu des mouches éc… Qui bombinent autour des puanteurs… Golfes d’ombre ; E, candeurs des…
Bien tard, quand il se sent l’esto… Le frère Milotus, un oeil à la lu… D’où le soleil, clair comme un cha… Lui darde une migraine et fait son… Déplace dans les draps son ventre…
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines,
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
À quatre heures du matin, l’été, Le sommeil d’amour dure encore. Sous les bosquets l’aube évapore L’odeur du soir fêté. Mais là-bas dans l’immense chantie…
Ainsi, toujours, vers l’azur noir Où tremble la mer des topazes, Fonctionneront dans ton soir Les Lys, ces clystères d’extases… À notre époque de sagous,
Les chars d’argent et de cuivre - Les proues d’acier et d’argent - Battent l’écume, - Soulèvent les souches des ronces. Les courants de la lande,
Mon triste cœur bave à la poupe... Mon cœur est plein de caporal ! Ils y lancent des jets de soupe, Mon triste cœur bave à la poupe... Sous les quolibets de la troupe