"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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Elle était déchaussée, elle était… Assise, les pieds nus, parmi les j… Moi qui passais par là, je crus vo… Et je lui dis : Veux-tu t’en veni… Elle me regarda de ce regard suprê…
Oh ! sur des ailes, dans les nues Laissez-moi fuir ! laissez-moi fui… Loin des régions inconnues C’est assez rêver et languir ! Laissez-moi fuir vers d’autres mon…
Je voyais s’élever, dans le lointa… Ces monuments, espoir de cent rois… Puis je voyais crouler les fragile… De ces fragiles demi-dieux. Alexandre, un pêcheur des rives du…
Victoire ! il était temps, prince,… Les filles d’opéra manquaient de p… Les révolutions apportent de l’enn… Aux Jeannetons d’hier, Pamélas d’… Dans don Juan qui s’effraie un Ha…
À mademoiselle Louise B. De nos jours,—plaignez-nous, vous,… L’intérieur de l’homme offre un so… Un serpent est visible en la sourc… Et l’incrédulité rampe au fond de…
Je veille. Ne crains rien. J’atte… Les anges sur ton front viendront… Je ne veux pas sur toi d’un rêve a… Farouches ; Je veux qu’en te voyant là, ta mai…
Puisque j’ai mis ma lèvre à ta cou… Puisque j’ai dans tes mains posé m… Puisque j’ai respiré parfois la do… De ton âme, parfum dans l’ombre en… Puisqu’il me fut donné de t’entend…
Nous étions, elle et moi, dans cet… De l’amour qui commence en éblouis… Ô souvenirs ! ô temps ! heures éva… Nous allions, le coeur plein d’ext… Ensemble dans les bois, et la main…
Ce n’est pas à moi, ma colombe, De prier pour tous les mortels, Pour les vivants dont la foi tombe… Pour tous ceux qu’enferme la tombe… Cette racine des autels !
Une de plus que les muses ; Elles sont DIX. On croirait, Quand leurs jeunes voix confuses Bruissent dans la forêt, Entendre, sous les caresses
Ô toi d’où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d’où me vient mon bonheur ! Quand je traverse cette lieue
On dit que je suis fort malade, Ami ; j’ai déjà l’oeil terni ; Je sens la sinistre accolade Du squelette de l’infini. Sitôt levé, je me recouche ;
Ô vous que votre âge défend, Riez ! tout vous caresse encore. Jouez ! chantez ! soyez l’enfant ! Soyez la fleur ; soyez l’aurore ! Quant au destin, n’y songez pas.
Batailles ! noirs duels de la forc… Guerres, par le hasard en courant… N’êtes-vous pas souvent funestes a… Que de fois vous avez souillé d’in… La Justice et la Paix, ces chaste…
Ô femmes ! chastetés augustes ! fi… Pudeur, crainte sacrée entre toute… Farouche austérité du front pensif… Ô vous à qui je veux ne parler qu’… Dont la forme est si noble en notr…