Tableau IX. Justine est seule et gémissante, Et mes yeux avec intérêt La suivent dans ce lieu secret Où sa chute fut si touchante.
Anges du ciel Par ce mal qu’endure le monde, Habite une hostilité profonde. Cette guerre qui semble éternelle, Avec succès écarte tous sentiments…
Homme dont la tristesse est écrite… Du monde à l’autre, et même aux mu… Forçat de l’hôpital et malade du b… Dormeur maussade, à qui chaque aub… Voyageur douloureux qu’attend la…
Quand parmi vous d’une voix inhabi… Je m’essayai dans la langue des ve… Quand je voulus, de son divin asil… Evoquer l’ange aux saints et doux… A mes refrains vous avez dit : «…
Tous deux, pour nos amours invoquo… Cachons à tous les yeux nos entret… Car l’amour, vois-tu bien, c’est l… C’est l’oiseau qui s’enfuit au reg… Tous deux, quand le printemps orne…
Si tu ne m’aimais pas, dis-moi, fi… Que balbutiais-tu dans ces fatales… Exerçais-tu ta langue à railler ta… Que voulaient donc ces pleurs, cet… Ces sanglots et ces cris ?
....................................................................................astronomiques anatomies Synopsis : prose sur ma douteuse éternité, et saluts appuyé à mes organes et ...
Tirer parti des circonstances, Précieux et rare talent ! Chacun se plaint et, nonchalant, Laisse passer et fuir ses chances. Qui toujours, sans hâte et sans tr…
Afin de te soustraire au néant ram… Et te tirer de cette affreuse affa… Je répandrai le baume de mes baise… Sur les restes de ton cœur Recollerai soigneusement tes morce…
(Au nom de Madame de Fontaine-Ma… C’est mercredi que je soupais chez… Et que, sortant des plaisirs de la… Bientôt couchée, un sommeil prompt… Me fit présent d’un songe délectab…
Blotti comme un oiseau frileux au… Les yeux sur ton profil, je songe… Immobile sur les coussins brodés,… L’enchantement ancien, la radieuse… Et les rêves au ciel de tes yeux v…
Tu vois .. j accompagne les phras… Le poème .. qui vient de bousculer… Les lignes viennent des profondeur… Je dessine mon amour .. sur le sa… Le paysage envahit le ciel .. les…
Il ne fallait, maîtresse, autres t… Pour vous graver, que celles de mo… Où de sa main, Amour, notre vainq… Vous a gravée de vos grâces parfai… Là vos vertus au vif y sont portra…
Sonnet. Que n’ai-je un peu de voix ! J’ai… De sentir mon poème en ma poitrine… Et de ne pouvoir pas, plus créateu… Comme j’ai mis mon cœur, mettre mo…
Le Saint-Laurent, mordu par les s… S’exaspère. Partout sur le fleuve… L’âme des bois brûlés flotte langu… Affolé, mon canot plonge dans l’ea… Pas d’oiseaux. Aucun coup de fusi…
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
xx… Pourquoi me rendre à ma douleur ? Pourquoi rétablis-tu, barbare, Entre mon sort et le bonheur L’immensité qui les sépare ?
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
(Après la mort de sa fille.) Quel est donc ce chagrin auquel je… Nous nous étions connus par l’espr… Nous n’avions fait que rire, et ca… Quand sa vivacité coudoya ma pares…
Sur tes riches tapis, sur ton diva… Au milieu des parfums respirer la… En ce voluptueux séjour, Où loin de tous les yeux, loin des… Les voiles enlacés semblent, pour…
Au zénith aveuglant brûle un globe… Le ciel entier frémit criblé de fl… Immobile et ridée à peine la mer d… La mer dort au soleil comme une be… Ça et là, dans le creux des rocher…
Idole et charme de ma vie, Tu sais endormir tous mes maux ; Tu sais me rendre le repos De mon enfance évanouie. Lorsque mon cœur est languissant,
—Naïs, je ne vois plus la couleur… —Lydé, je ne vois plus les cygnes… —Naïs, n’entends-tu pas la flûte d… —Lydé, ne sens-tu pas l’odeur des… —D’où vient qu’en moi, Naïs, mont…
Laridon et César, frères dont l’o… Venait de chiens fameux, beaux, bi… A deux maîtres divers échus au tem… Hantaient, l’un les forêts, et l’a… Ils avaient eu d’abord chacun un a…
Nos coteaux, les plus purs de tous… Que, n’eût été la Grèce, auraient… Au bas de leurs sentiers poudrés d… Ont comme une hydre énorme éparse… La Ville nous fascine, étant moin…
Alfred, j’ai vu des jours où nous… Servant les mêmes dieux aux autels… Le ciel n’avait formé qu’une âme p… Beaux jours d’épanchement, d’amour… Où ma voix à la tienne incessammen…
merci Ô Dieu, merci mon Dieu, De nous rendre tous joyeux, Nous rassemblant ici, Dans une paisible vie.
Le soleil est toujours riant, Depuis qu’il part de l’orient Pour venir éclairer le monde. Jusqu’à ce que son char soit desce… La vapeur des brouillards ne voile…
Moi qui suis partisan de la métemp… Je soupçonne très fort que Coquet… Était une marquise à l’agaçant min… Et rien que son aspect confirmerai… Observez sa figure et son geste et…
L’aurore désirée, ô filles de Byb… A déployé les plis de son riche pé… Ses yeux étincelants versent des p… Sur la pente des monts et les moll… Et, dans l’azur céleste où sont as…