Couchants marins, orgueil des ciel… Pour mieux voir s’exalter leur lum… Viens sur la dune à l’heure où ren… Et regarde le soleil d’août, sangl… Descendre au large des Etaux.
C’est l’aurore et c’est l’avril, Lui dit-il, Viens, la rosée étincelle. –Le vallon est embaumé : Viens, c’est mai
Froide ou sèche, acerbe ou pédante… La critique alors est sans fruit ; Et le plus souvent elle nuit En se faisant décourageante. Moquerie est chose indigente :
Sonnet CXXII. Cependant qu’au palais de procès t… D’avocats, procureurs, présidents,… D’ordonnances, d’arrêts, de nouvea… De juges corrompus, et de telles s…
Eveillez-vous, échos de la patrie, Retentissez à nos joyeux refrains… Chants exhalés de notre âme attend… Envolez-vous jusqu’à des cieux ser… N’envions plus à quelque autre riv…
Tout vit, tout aime ! et moi, tris… Ainsi qu’un arbre mort sur le ciel… Je ne peux plus aimer, moi qui n’a… Et je viens de quitter sans regret… Je suis comme un malade aux penser…
Le tréteau qu’un orchestre emphati… Grince sous les grands pieds du ma… Qui harangue non sans finesse et s… Les badauds piétinant devant lui d… Le plâtre de son front et le fard…
L’homme fin comprend la finesse, Mais non pas la simplicité : Veux-tu dépister son adresse ? Demeure dans ta vérité. Nul œil ne peut, comme une sonde,
Sa robe était de tulle avec des ro… Et rose pâle était sa lèvre, et se… Froids et bleus comme l’eau qui rê… La mer Tyrrhénienne aux langueurs… Berçait sa vie éparse en suaves pé…
Lui Sa main Son corps Son coeur Ses lèvres
Ode XXVI. En vous donnant ce pourtraict mien Dame, je ne vous donne rien Car tout le bien qui estoit nostre Amour dès le jour le fit vostre
Entre les caps d’azur qui dentèlen… Il en est un, que l’onde incessamm… Et qu’en voguant vers lui tout pie… Salue avec amour à l’horizon serei… Sunium ! Sunium ! dit-il, radieux…
L’idole qui règne sur nous Voudrait y régner sans partage : Aussi nos travers sont jaloux, Chacun d’eux hait sa propre image. Désires-tu donc aujourd’hui
Première Voix. La neige tombe à gros flocons ; Par dessus nous, le ciel est noir… La terre, autour de nous, est noir… La lourde neige seule est blanche…
Ainsi jusqu’à la mort, visages réu… Gestes gauches du cœur sur le corp… Et sur lequel tu meurs, absolue vé… Ce corps abandonné à tes mains aff… L’odeur du sang sera ce bien que t…
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Voici le matin bleu. Ma rose et b… Lasse d’amour, sous mes baisers, s… Voici le matin bleu qui vient sur… Éteindre les lueurs oranges du foy… L’insoucieuse dort. La fatigue a…
(Au nom de Madame de Fontaine-Ma… C’est mercredi que je soupais chez… Et que, sortant des plaisirs de la… Bientôt couchée, un sommeil prompt… Me fit présent d’un songe délectab…
Ô la plus douce et la meilleure de… Autour du cou deux bras enlacés si… Premier mot du désir, premier rêve… Et premier abandon de toutes les m… Puis vaincus et jetés parmi le flo…
Que veux-tu que je devienne Je me sens mourir Secours-moi Ah Paris... le
Nous habiterons un discret boudoir… Toujours saturé d’une odeur divine… Ne laissant entrer, comme on le de… Qu’un jour faible et doux ressembl… Une blonde frêle en mignon peignoi…
Pépa, quand la nuit est venue, Que ta mère t’a dit adieu ; Que sous ta lampe, à demie nue, Tu t’inclines pour prier Dieu ; A cette heure où l’âme inquiète
(À l’occasion de la goutte dont He… fut attaqué au mois de janvier 160… Quoi donc ! c’est un arrêt qui n’é… Que rien n’est ici-bas heureux par… Et qu’on ne peut au monde avoir co…
On ne voit en passant par les Lan… Vrai Sahara français, poudré de s… Surgir de l’herbe sèche et des fla… D’autre arbre que le pin avec sa p… Car, pour lui dérober ses larmes d…
Oh ! laissez-le pleurer sa céleste… Dont il est exilé, qu’il ne fait q… La fleur de pureté sur la terre es… Mais aux pleurs il reste un espoir… Toujours elle m’émeut, la brûlante…
Pourquoi semer sur notre route Tant de vains dogmes affligeants ? L’amour s’enfuit sans qu’on s’en d… Lorsqu’il voit venir les vieux ans… On chante une fois la romance
Sonnet. À mesure que l’on s’élève Au-dessus des mornes terrains, On sent le poids de ses chagrins Se désalourdir comme en rêve.
Jupiter eut un fils qui se sentant… Dont il tirait son origine Avait l’âme toute divine. L’enfance n’aime rien : celle du j… Faisait sa principale affaire
Oh ! pourquoi partir sans adieux ? Pourquoi m’ôter ton doux visage, Tes lèvres chères et tes yeux Où je n’ai pas lu ce présage ? Pourquoi sans un mot de regret ?
Splendides reflets bleus des paroi… Qui plongez dans une ombre aussi b… Où les pâles azurs des cristaux, d… Se réfractent sans fin en un saphi… Où les argents, tantôt nacrés, tan…