Encore un premier jour de l’an Que le temps nous apporte ! Cette date donne l’élan Aux vœux de toute sorte. Puissiez-vous, gais et bien portan…
Un rimeur de couplets comiques, De la folle et vive chanson Aux oreilles académiques A fait la funèbre oraison. Ingrat, à peine à son aurore,
Voici le cabinet charmant Où les Grâces font leur toilette. Dans cette amoureuse retraite J’éprouve un doux saisissement. Tout m’y rappelle ma maîtresse,
Au nom du duc de Bellegarde. 1610. Enfin l’ire du ciel et sa fatale e… Dont j’avais repoussé tant d’injus… Ont détruit ma fortune, et, sans m…
Une nuit noire, par un calme, sous… Le Temps, l’Étendue et le Nombre Sont tombés du noir firmament Dans la mer immobile et sombre. Suaire de silence et d’ombre,
Quand je suis tout baissé sur votr… Je vois dedans vos yeux je ne sais… Je ne sais quoi de noir, qui m’éme… Et qui jusques au coeur de veine e… Je vois dedans Amour, qui va chan…
Sous l’épais sycomore, ô vierge, o… Dans le jardin fleuri, tiède et si… Pour goûter la saveur de tes lèvre… Un papillon d’azur vers toi descen… C’est l’heure où le soleil blanchi…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
C’est la pure vérité Comme un manchon Ma belle dame mettez vos deux main… dans le bec de gaz nous y verrons plus clair
le moment viendrait où tout triomp… ne serait que souvenir émietté sur le sentier de ta mémoire écorc… ce moment où tu repartirais sans désirs assouvi…
Comme on voit sur la branche au mo… En sa belle jeunesse, en sa premie… Rendre le ciel jaloux de sa vive c… Quand l’Aube de ses pleurs au poi… La grace dans sa feuille, et l’amo…
L’éclair vibre sa flèche torse À l’horizon mouvant des flots. Sur ta natte de fine écorce Tu rêves, les yeux demi-clos. À l’horizon mouvant des flots
Par son toucher de velours Il fait bouger des montagnes Non, je ne parle pas de l’amour Mais bien d’un être qui soigne Il sait faire revivre l’énergie
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
—Tu veux me comprendre ? C’est bi… Mais le peux-tu ? C’est autre cho… Peux-tu me saisir dans ma cause, Et de mon cœur faire le tien ? Retrouves-tu, par clairvoyance,
En acquittant nostre temps vers je… Le nouvel an et la saison jolie, Plains de plaisir et de toute lies… Qui chascun d’eulx chierement nous… Venuz sommes en ceste mommerie (1)…
Auprès de ce beau teint, le lys en… Le lait est basané auprès de ce be… Du cygne la blancheur auprès de vo… Et celle du papier où est votre lo… Le sucre est blanc, et lorsqu’en l…
Jeune et svelte Atalante aux beau… De ton Pygmalion ta chair vivante… Lui seul a le secret de cette form… Divinisant les corps par sa main m… A son âme d’artiste ont été révélé…
Amour, je ne me plains de l’orguei… Ni de la cruauté de ma jeune Lucr… Ni comme, sans recours, languir el… Je me plains de sa main et de son… C’est un gros instrument par le bo…
C est un article du lundi . C était le curé du village . Qui m as appris à aimer les homme… Dans le petit jardin .. derrière… Tu vois .. il avait baissé son sh…
Sunday, c’est la légende du poète… Une analyse .. une rubrique, qui… C’est le hasard du combattant . Le poète avait colporté quelques m… C’est le plaisir du bon pénis joye…
Pays enchanté, C’est la beauté Qui doit te soumettre à ses chaîne… Là-haut sur ces monts Nous triomphons :
Pour Henri le Grand, sur la de… absence de la princesse de Cond… 1609. Que n’êtes-vous lassées, Mes tristes pensées,
Sur l’onde saturée, Elle marchait. Convaincue que personne Ne la devinerait. Et la neige
Bénis soient tes crayons, ô toi, j… Qui de nos Rosalba suivant déjà l… À mes yeux consolés retraces Avec tant d’élégance et de fidélit… Celle qui m’adoucit ma triste céci…
Un jour, tu cesseras de parcourir le monde comme si tu devais tout porter à bout de bras : le Soleil, le Ciel, les heures sombres de la nuit, l’instant secret où l’on frappe à ta porte ...
Ô ciel ! après huit jours d’absenc… Après huit siècles de désirs, J’arrive, et ta froide prudence Recule l’instant des plaisirs Promis à mon impatience !
Ne me plains pas, me dit l’arbre, Autrefois, autour de moi, C’est vrai, tout était de marbre, Le palais comme le roi. Je voyais la splendeur fière
Si vous alliez à la chasse en auto… Vous rencontreriez sûrement dans l… Un cerf un lièvre et un faisan Cela vous entraînerait loin sûreme… Si vous alliez à la chasse en auto…
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
Ah ! sous une feinte allégresse Ne nous cache pas ta douleur ! Tu plais autant par ta tristesse Que par ton sourire enchanteur À travers la vapeur légère
Ô ! j’ai froid d’un froid de glace Ô ! je brûle à toute place ! Mes os vont se cariant, Des blessures vont criant ; Mes ennemis pleins de joie
Le jour de sa fête Dans un deuil que mon cœur révère, Pour ta fête en ce jour, ô mon ver… Je n’offre point des fleurs : héla… La rose pour tes yeux serait encor…
Dans le ciel clair rayé par l’hiro… Le matin qui fleurit comme un divi… Parfume la feuillée étincelante et… Où les nids amoureux, palpitants,… A la cime des bois chantent à plei…
Si le doge est son père, ou si c’e… C’est ce dont, pour ma part, je m’… Dès qu’elle a pris naissance, il n… Que ce soit à Venise, ou dans Nap… Elle est belle, voilà l’intéressan…
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras...gauc… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :
Le gars imberbe .. c est Polyphém… C est un drôle de phénomène . C est le dernier suceur et un vole… C est le marquis des Champs Hauts… C est le grand noble .. qui vient…
Fable XII, Livre I. Un médisant accusait les échos. Un médisant !....... Je le ménage… Le ciel, disait-il dans sa rage, Puisse-t-il les punir de leurs mau…
Gordes, j’ai en horreur un vieilla… Qui l’aveugle appétit de la jeunes… Et là froid par les ans de soi-mêm… À vivre délicat en repos otieux. Mais je ne crains rien tant qu’un…
Vivre mais à quoi bon, dans l’ombr… L’horizon s’efface, emportant nos… Chaque souffle devient un poids, u… Pause avant le silence, écho d’une… Les notes de notre histoire résonn…
Il a vécu tantôt gai comme un sans… Tour à tour amoureux insoucieux et… Tantôt sombre et rêveur comme un t… Un jour il entendit qu’à sa porte… C’était la Mort ! Alors il la pri…
Viens, ô ma Bouteille chérie, Viens enivrer tous mes chagrins. Douce compagne, heureuse amie, Verse dans ma coupe élargie L’oubli des dieux et des humains.
Ô toi dont la pénible enfance S’écoule au milieu des douleurs, Toi, dont la fragile existence M’a déjà coûté tant de pleurs ; Ô ! De ta mère,
Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…
Sur l’éloignement prochain de la c… La Roche, ou de la vicomtesse d’A… 1608. Le dernier de mes jours est dessus… Celle dont mes ennuis avaient leur…
Je vis cette faucheuse. Elle étai… Elle allait à grands pas moissonna… Noir squelette laissant passer le… Dans l’ombre où l’on dirait que to… L’homme suivait des yeux les lueur…
L’autre matin, sous la fraîche cou… Le beau Colin, loin des regards j… S’imaginait trouver encore Lisett… Une heure au moins après le rendez… « Il est trop tard, lui dis-je, el…
Petit piqueton de Mareuil, Plus clairet qu’un vin d’Argenteu… Que ta saveur est souveraine ! Les Romains ne t’ont pas compris Lorsqu’habitant l’ancien Paris
Permettez-moi dit le jeune Espagnol de vous oflrir cette ciga… Il me tendit sa cravate. Deux détectives s’approchèrent mirent les menottes…
Le paysage était fourrure, Pelage de rieurs et moissons, Brume vibrante, échos, frissons : Le voici prêt à la morsure, Il s’incarne et devient ce fauve
Sonnet XXIII. Si je pouvoy’ porter dedans le sei… Avec mon amitié celle que j’ayme a… Je ne me plongeroy au curieux souc… Qui dévore mes sens d’une ennuyeus…
Le chemin devant moi N’est pas une ligne droite Il y a des courbes et des raccourc… Il est large et étroite Il y a des hauts et des bas
Hideux siècles de foi, de lèpre et… Que le reflet sanglant des bûchers… Siècles de désespoir, de peste et… Où le Jacque en haillons, plus vi… Geint lamentablement sa pitoyable…
Tableau VI. Dans cette alcôve solitaire Sans doute habite le repos : Voyons. Mais ces doubles rideaux Semblent fermés par le mystère ;
Le percepteur trouve qu’on tarde ; Il veut être payé ce soir. —J’ai quelques sous, mais je les g… Pour vous acheter du pain noir. Si je n’en porte à votre mère,
C’est le Prélude de Mai . Le poète Alain est devenu le pass… C’est le choix .. le poids des mot… L article .. qui resteras gravé s… J avais quitté la Cité médiévale…
Oh ! De quelle splendeur brillaie… Quand un autre soleil échauffait l… Quand nos jeunes lauriers, vers le… Agitaient noblement leur tige refl… Ces grands jours, déjà loin, ne vo…
VERT DE MES RACINES Vert... Arbre vert jetant son ombre entre mes mains, verdure de pierres et de montagnes
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,