Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Âme ! être, c’est aimer. Il est. C’est l’être extrême. Dieu, c’est le jour sans borne et… Lui, l’incommensurable, il n’a poi…
II. J’ai vu les coeurs peu rebelles, Les grands guerriers tourtereaux, Ce qu’on appelait les belles, Ce qu’on nommait les héros.
Mon âme est faite ainsi que jamais… Ni l’homme, quels qu’ils soient, n… Toujours mon cœur, qui n’a ni bibl… Dédaigna le sophiste et brava le t… Je suis sans épouvante étant sans…
Solitude ! silence ! oh ! le déser… L’âme s’apaise là, sévèrement cont… Là d’on ne sait quelle ombre on se… Je vais dans les forêts chercher l… La sauvage épaisseur des branches…
—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…
Tu peux, comme il te plaît, me fai… Comme le soleil fait serein ou plu… L’azur dont il est l’âme et que sa… Tu peux m’emplir de brume ou m’ino… Du haut de ta splendeur, si pure q…
Ainsi l’hôtel de ville illumine so… Le prince et les flambeaux, tout y… Ce soir va resplendir sur ce combl… Comme l’idée au front du poète sac… Mais cette fête, amis, n’est pas u…
Là-haut qui sourit ? Est-ce un esprit ? Est-ce une femme ? Quel front sombre et doux ! Peuple, à genoux !
Ayant vu le massacre immense, le c… Le peuple sur sa croix, Paris sur… La pitié formidable était dans tes… Tu faisais ce que font les grandes… Et lasse de lutter, de rêver, de s…
Voilà… Elle est morte, pour ainsi dire, q… Saint Augustin, Confessions.… J’ai des rêves de guerre en mon âm… J’aurais été soldat, si je n’étais…
Ces lieux sont purs ; tu les compl… Ce bois, loin des sentiers battus, Semble avoir fait des violettes, Jeanne, avec toutes tes vertus. L’aurore ressemble à ton âge ;
Ils ont dit : Nous serons les vai… Soldats par la tactique et par la… Nous détruirons progrès, lois, ver… Nous nous ferons un fort avec tous… Et pour nous y garder, comme des d…
En guerre les guerriers ! Mahomet… Les chiens mordent les pieds du li… Ils relèvent leur tête infâme. Ecrasez, ô croyants du prophète di… Ces chancelants soldats qui s’eniv…
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Après avoir souffert, après avoir… Tranquille, et du néant de l’homme… Tu dis je ne sais rien ¡!—Et je t… Ô lutteur, ô penseur, de cette réu… Maintenant, sans regret, sans dési…