Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Ô Louis ! je songeais ! – Baigné… Le soir tombait ; des feux scintil… Les vastes flots berçaient le nid… J’écoutais vers le ciel, où toute… Monter confusément une louange imm…
Un immense frisson émeut la plaine… C’est l’heure où Pythagore, Hésio… Songeaient ; c’est l’heure où, las… Contemplé l’azur sombre et l’étoil… Pleins d’horreur, s’endormaient le…
Lorsque Abd-el-Kader dans sa geôl… Vit entrer l’homme aux yeux étroit… Que l’histoire appelle—ce drôle,— Et Troplong—Napoléon trois ; Qu’il vit venir, de sa croisée,
Sonnez, sonnez toujours, clairons… Quand Josué rêveur, la tête aux c… Suivi des siens, marchait, et, pro… Sonnait de la trompette autour de… Au premier tour qu’il fit, le roi…
—Sentiers où l’herbe se balance, Vallons, coteaux, bois chevelus, Pourquoi ce deuil et ce silence ? —Celui qui venait ne vient plus. —Pourquoi personne à ta fenêtre,
II. Le jour s’enfuit des cieux ; sous… De moments en moments se hasarde u… La nuit, pas à pas, monte au trône… Un coin du ciel est brun, l’autre…
Jean Sévère était fort ivre. Ô barrière ! ô lieu divin Où Surène nous délivre Avec l’azur de son vin ! Un faune habitant d’un antre,
Nain qui me railles, Gnome aperçu Dans les broussailles, Ailé, bossu ; Face moisie,
Nous errions, elle et moi, dans le… Elle est fière pour tous et pour m… Les deux et nos pensers rayonnaien… Oh ! connue aux lieux déserts les… Que de fleurs aux buissons, que de…
L’aurore s’allume ; L’ombre épaisse fuit ; Le rêve et la brume Vont où va la nuit ; Paupières et roses
Moi qu’un petit enfant rend tout à… J’en ai deux ; Georges et Jeanne… Et l’autre pour lumière, et j’acco… Vu que Georges a deux ans et que… Leurs essais d’exister sont divine…
La lune était sereine et jouait su… La fenêtre enfin libre est ouverte… La sultane regarde, et la mer qui… Là-bas, d’un flot d’argent brode l… De ses doigts en vibrant s’échappe…
Tout ce temps-là m’importune. Des fadeurs, ou des venins. La grandeur de leur fortune Rapetisse encor ces nains. On a le faux sur la nuque ;
Puisque nos heures sont remplies De trouble et de calamités ; Puisque les choses que tu lies Se détachent de tous côtés ; Puisque nos pères et nos mères
… La postérité de Joseph rentre dan… Et cette conquête, due aux larmes… Ne coûte pas une larme aux vaincus… Chateaubriand, Martyrs.…