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#ÉcrivainsFrançais
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,
Or, vous voici promus, petits amis… Depuis les temps de ma lettre prem… Promus, disais-je, aux fiers emplo… À votre thèse, en ces jours de lum… Vous voici rois de France ! À vot…
Notre-Dame de Santa Fé de Bogota… Qui vous apprêtez à faire le tour… Or, mon émotion serait trop profon… Dans le chagrin réel dont mon cœur… À la nouvelle de ce départ déplora…
Je ne t’aime pas en toilette Et je déteste la voilette Qui t’obscurcit tes yeux, mes cieu… Et j’abomine la « tournure » Parodie et caricature,
Allons, mon pauvre cœur, allons, m… Redresse et peins à neuf tous tes… Brûle un encens ranci sur tes aute… Sème de fleurs les bords béants du… Allons, mon pauvre cœur, allons, m…
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur : Aï, Beaune, Sauterne, Grave. Ton rire éclaire mon vieux cœur.
Deux femmes des mieux m’ont apparu… Mon rêve était au bal, je vous dem… L’une d’entre elles maigre assez,… Un noir et ce regard mécréant qui… L’autre, brune au regard sournois…
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Or ce vieillard était horrible : u… Crevé, saignait, tandis que l’autr… Brutalement luisait sous son sourc… Les cheveux se dressaient d’une fa… Blancs, et paraissaient moins des…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
J’ai rêvé d’elle, et nous nous par… Non pas nos torts, il n’en est en… Mais l’absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris c… Simple elle était comme au temps d…
Il est un arbre au cimetière Poussant en pleine liberté, Non planté par un deuil dicté, - Qui flotte au long d’une humble pi… Sur cet arbre, été comme hiver,
L’échelonnement des haies Moutonne à l’infini, mer Claire dans le brouillard clair Qui sent bon les jeunes baies. Des arbres et des moulins
Ah ! les oaristys ! les premières… L’or des cheveux, l’azur des yeux,… Et puis, parmi l’odeur des corps j… La spontanéité craintive des cares… Sont-elles assez loin toutes ces a…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand cœur et la glo… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…