"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Là ! Je me tue à vos genoux ! Car ma détresse est infinie, Et la tigresse épouvantable d’Hyr… Est une agnelle au prix de vous. Oui, céans, cruelle Clymène,
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
La myrrhe, l’or et l’encens Sont des présents moins aimables Que de plus humbles présents Offerts aux Yeux adorables Qui souriront plutôt mieux
QUEL délicieux repas Tu feras (Si les dieux te prêtent vie) Chez moi, pourvu toutefoi Qu’avec toi
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
Je vous prends à témoin entre tous… Vous qui m’avez connu dès l’extrêm… Que je fus digne d’elle, à Dieu s… Sans criard désespoir ni jactance… Simple dans mon mépris pour des re…
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Et l’enfant répondit, pâmée Sous la fourmillante caresse De sa pantelante maîtresse : « Je me meurs, ô ma bien-aimée ! « Je me meurs : ta gorge enflammée
Un grand bloc de grès ; quatre nom… Et ma mère et moi, puis mon fils b… Dans l’étroite paix du plat cimeti… Blanc et noir et vert, au long du… Cinq tables de grès ; le tombeau n…
Au bout d’un bas-côté de l’église… Contre le mur que vient baiser le… D’un long vitrail d’azur et d’or f… Le Crucifix se dresse, ineffablem… Sur sa croix peinte en vert aux ar…
Brune encore non eue, Je te veux presque nue Sur un canapé noir Dans un jaune boudoir, Comme en mil huit cent trente.
Aussi, la créature était par trop… Qui donnait ses baisers comme un e… Indifférente à tout, hormis au pre… De la cire à moustache et de l’emp… Et j’ai ri, car je tiens la soluti…
Avant que tu ne t’en ailles, Pâle étoile du matin, —Mille cailles Chantent, chantent dans le thym. Tourne devers le poète,