#ÉcrivainsFrançais
Les rameaux verts s’inclinent quan… au détour du sentier J’approche d’une pierre tombale pl… la neige blanche comme le lait bla… chaux blanche blanche comme les mu…
La créole qui danse Encore à minuit dansera jusqu’à l’aurore jusqu’à midi et jusqu’à l’autre nu… Les seins bandés
Dans bien longtemps je suis passé par le château des feuilles Et loin les coquillages s’accrochaient désespérément aux rochers de la mer Ton souvenir ou plutôt ta tendre présence était ...
Se glisser dans ton ombre à la fav… Suivre tes pas, ton ombre à la fen… Cette ombre à la fenêtre c’est toi… N’ouvre pas cette fenêtre derrière… Ferme les yeux.
La rose de Marbre immense et blanche était seule sur la place déserte où les ombres se prolongeaient à l’infini. Et la rose de marbre seule sous le soleil et les étoiles était reine de ...
Comme une main à l’instant de la m… Il n’est plus temps, il n’est plus… Mais la feuille qui tombe et la ro… Sauf l’amour, Et je veux m’en persuader.
L’autre soir j’ai rencontré Un séduisant jeune homme Et nous avons folâtré Et dégusté la pomme Dans le ht que j’étais bien !
Sycomore effréné fameuse division du temps fleur dn silence animal ô rouge rouge et bleu rouge et jaune silice surgie du creux des mains des nuits et des plaines en de féroces exclamati...
Si j’aime les trains c’est sans do… plus vite que les enterrements dernier tango tu n’es qu’une sonne… d’un corridor J’enfile lentement des serrures da…
Je suis le veilleur de la rue de Flandre, Je veille tandis que dort Paris. Vers le nord un incendie lointain…
A Pantin la verdure a pu traîner ses… Tas de branques farcis de bobards… A force de calter s’atigent leurs… Et, pour roter pardon, ils n’auron…
Abougazelle élaromire Elaroseille a la mijelle a la mira… Mirabazcllc élagémi Rosetaraise et cœurmira Talatara miralabou
Cheval de fer et de fumier, mâcheu… Cheval jailli de la tempête et du… Agite le panache à ton front blanc… Et, d’un train paresseux, mène les… Car on conduit en terre au soir de…
L’encrier périscope me guette au t… mon porte-plume rentre dans sa coq… La feuille de papier déploie ses g… Avant peu ses deux serres m’arracheront les yeux
Quel sera, monstre, mon supplice ? Déjà, dérisoire, ton nom Devient mot d’amour et complice De ma honte et de notre union. J’adopterai, d’abord, la pose