#ÉcrivainsFrançais
Sur l’augurai berceau propice et p… Splendit l’astre advenu au ciel pu… Je vois dans le futur ayant fées p… Le fils de votre arcane étonner le…
Depuis que j’suis dans la marine A bord du paqu’bot Pompadour J’en ai marre de la marine Je marronne et pleur’ tous les jou…
La petite Rosalie peigne ses cheveux odorant… Le vent le vent passe à travers le… La petite Rosalie n’a ni amie ni amant
Le chemin sur lequel je cours Ne sera pas le même quand je ferai… J’ai beau le suivre tout droit Il me ramène à un autre endroit Je tourne en rond mais le ciel cha…
Je suis le veilleur de la rue de Flandre, Je veille tandis que dort Paris. Vers le nord un incendie lointain…
Je voudrais aujourd’hui écrire de… Ainsi que j’en lisais quand j’étai… Il est possible aussi que je sois… Mais compter tous ces mots accoupl… Me parait un travail fastidieux de…
Je je suis suis le le roi roi des montagnes j’ai de de beaux bea… il fait une chaleur chaleur j’ai nez j’ai doigt doigt doigt doigt doigt…
t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de ...
Quel sera, monstre, mon supplice ? Déjà, dérisoire, ton nom Devient mot d’amour et complice De ma honte et de notre union. J’adopterai, d’abord, la pose
Je vous salue, vendanges prochaine… Je vous salue, pressoirs gémissant… Je vous salue bouteilles, bouchons… Je vous salue buveurs des années f… Buveurs qui boirez goulûment
c’est le minuit passé dressant son torse nu au-dessus des beffrois et des peupliers j’appelle à moi ceux-là perdus dans les campagnes les vieux cadavres les jeunes chênes coupés les lam...
Chaque jour de ses dents aiguës Le temps déchire un peu le tain De ce miroir et restitue A l’espace un nouveau butin La lèpre marque le visage
La rose qui fleurit aux berges de… Seine Fleurit après minuit sur les pelou… Sur les pelouses naines où danse l… Près
Visage de bois visage de bois Je pars en rêvant ô mon amour ô mon roi Viennent les Printemps
Pendus, égorgés, empoisonnés, Voici la foule des suicidés : Le chemin se hérisse, il a la chai… Poignardés, noyés, précipités, Brisés par les roues du train,