" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Écoute-moi. Voici la chose nécessa… Être aimé. Hors de là rien n’exist… Être aimé, c’est l’honneur, le dev… C’est Dieu, c’est le démon, c’est… Cela dit, tout est dit. Pour que…
Anacréon, poète aux ondes érotique… Qui filtres du sommet des sagesses… Et qu’on trouve à mi-côte alors qu… Clair, à l’ombre, épandu sur l’her… Tu me plais, doux poète au flot ca…
Retournons à l’école, ô mon vieux… Homme d’ivoire et d’or, descends d… Où depuis deux mille ans tes vers… Il paraît, vois-tu bien, ces chose… Mais c’est la vérité selon monsieu…
Si les liens des coeurs ne sont pa… Oh ! dites, vous devez avoir eu de… Je n’ai fait que rêver de vous tou… Et nous nous aimions tant ! vous m… Tout s’éteint, tout s’en va ; ta s…
Personne pour toi. Tous sont d’ac… Nommé Gladstone, dit à tes bourre… Cet autre, nommé Grant, te conspu… Nommé Bancroft, t’outrage ; ici c… Là c’est un soldat, là c’est un ju…
Mères en deuil, vos cris là-haut s… Dieu, qui tient dans sa main tous… Parfois au même nid rend la même c… O mères ! le berceau communique à… L’éternité contient plus d’un divi…
Souvent, quand mon esprit riche en… Flotte et roule endormi sur l’océa… Dieu, foyer du vrai jour qui ne lu… Mystérieux soleil dont l’âme est e… Le frappe d’un rayon, et, comme un…
Vieux lierre, frais gazon, herbe,… Église où l’esprit voit le Dieu qu… Mouches qui murmurez d’ineffables… À l’oreille du pâtre assoupi dans… Vents, flots, hymne orageux, choeu…
Hymne aux morts de juillet.… Ceux qui pieusement sont morts pou… Ont droit qu’à leur cercueil la fo… Entre les plus beaux noms leur nom… Toute gloire près d’eux passe et t…
Ma dague d’un sang noir à mon côté… Et ma hache est pendue à l’arçon d… J’aime le vrai soldat, effroi de… Son turban évasé rend son front pl… Il baise avec respect la barbe de…
Temps futurs ! vision sublime ! Les peuples sont hors de l’abîme. Le désert morne est traversé. Après les sables, la pelouse ; Et la terre est comme une épouse,
Mes poèmes ! soyez des fleuves ! Allez en vous élargissant ! Désaltérez dans les épreuves Les coeurs saignants, les âmes veu… Celui qui monte ou qui descend.
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Une sorte de verve étrange, point… Point sourde, éclate et fait du pr… Tout parle et tout écoute et tout… Et l’antre est une bouche et la so… L’oiseau regarde ému l’oiselle int…
Donc c’est fait. Dût rugir de hon… Te voilà, nain immonde, accroupi s… Cette gloire est ton trou, ta baug… Toi qui n’as jamais pris la fortun… Te voilà presque assis sur ce haut…