Antonia Martinelli

La fille au parapluie blanc (esta en frances)

Une pluie des lettres
des désirs, des plaisirs.
Des verbes conjugués
qui font appelle au temps.
Du temps qui jamais attend.
 
Un parapluie qui rend aveugle,
de la beauté du ciel intangible.
Ils pleurent tous sous leurs parapluies
comme des enfants seuls dans la nuit.
 
il n’y a maintenant que lui, ce-lui là
assis sur le banc,  sans rien faire, sans rien dire
Lui, devant le défilé de souvenirs,
Lui qui a laissé envoler son parapluie.
 
Tous se cachent, tous ont peur,
Personne ne le voit, leur regards sont au sol,
Le sien... est ailleurs.
 
Mauvais choix, mauvaise combinaison.
Sa cravate jaune, son chapeau marron,
D’une jeune fille appellent l’attention,
 
La fille au parapluie transparent
 
      —Monsieur que fetes—vous aussi solitaire?
      —Et vous mademoiselle? Comment me voyez-vous?
 
Leurs yeux se sont retrouvés
Elle fixe un doux regard marron
Il retrouve la beauté d'un bleu céleste
 
Et d'une parfaite synchronie
Il fût la place qu'elle a pris
 
Il n’y a maintenant qu’eux, ceux-là
assis sur le banc, sans rien faire, sans rien dire,
Partageant des futurs
Eux porteurs du parapluie transparent

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