#XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais #LesFleursDuMal
Tu n’es certes pas, ma très-chère, Ce que Veuillot nomme un tendron. Le jeu, l’amour, la bonne chère, Bouillonnent en toi, vieux chaudro… Tu n’es plus fraîche, ma très-chèr…
La diane chantait dans les cours d… Et le vent du matin soufflait sur… C’était l’heure où l’essaim des rê… Tord sur leurs oreillers les bruns… Où, comme un oeil sanglant qui pal…
Comme les anges à l’oeil fauve, Je reviendrai dans ton alcôve Et vers toi glisserai sans bruit Avec les ombres de la nuit ; Et je te donnerai, ma brune,
Or Gitche Manito, le Maître de l… Le Puissant, descendit dans la ve… Dans l’immense prairie aux coteaux… Et là, sur les rochers de la Roug… Dominant tout l’espace et baigné d…
Lorsque tu dormiras, ma belle téné… Au fond d’un monument construit en… Et lorsque tu n’auras pour alcôve… Qu’un caveau pluvieux et qu’une fo… Quand la pierre, opprimant ta poit…
La femme cependant, de sa bouche d… En se tordant ainsi qu’un serpent… Et pétrissant ses seins sur le fer… Laissait couler ces mots tout impr… —« Moi, j’ai la lèvre humide, et j…
Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux… Traversé çà et là par de brillants… Le tonnerre et la pluie ont fait u… Qu’il reste en mon jardin bien peu… Voilà que j’ai touché l’automne de…
Race d’Abel, dors, bois et mange… Dieu te sourit complaisamment. Race de Caïn, dans la fange Rampe et meurs misérablement. Race d’Abel, ton sacrifice
Quand chez les débauchés l’aube bl… Entre en société de l’Idéal ronge… Par l’opération d’un mystère venge… Dans la brute assoupie un ange se… Des Cieux Spirituels l’inaccessib…
Tout homme digne de ce nom A dans le coeur un Serpent jaune, Installé comme sur un trône, Qui, s’il dit : « Je veux, » répo… Plonge tes yeux dans les yeux fixe…
Vous pouvez mépriser les yeux les… Beaux yeux de mon enfant, par où f… Je ne sais quoi de bon, de doux co… Beaux yeux, versez sur moi vos cha… Grands yeux de mon enfant, arcanes…
Ce spectre singulier n’a pour tout… Grotesquement campé sur son front… Qu’un diadème affreux sentant le c… Sans éperons, sans fouet, il essou… Fantôme comme lui, rosse apocalypt…
La Haine est le tonneau des pâles… La Vengeance éperdue aux bras rou… À beau précipiter dans ses ténèbre… De grands seaux pleins du sang et… Le Démon fait des trous secrets à…
Entre tant de beautés que partout… Je contemple bien, amis, que le dé… Mais on voit scintiller en Lola d… Le charme inattendu d’un bijou ros…
Novis te cantabo chordis, O novelletum quod ludis In solitudine cordis. Esto sertis implicata, Ô femina delicata