Impressions et souvenirs (1922)
#ÉcrivainsFrançais
Elle est née un joli dimanche de p… Son père qui croyait en Dieu, com… Et sa mère, cœur simple et plein d… Pieusement l’avaient nommée Anne-… Du nom, choisi par eux entre les n…
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
Nous avions relâché la veille à P… Aucun de nous n’avait consulté l’a… Et nous ne savions pas que Noël é… Il ventait doux. Le ciel était co… Tant il y fleurissait d’étoiles, q…
Mon cœur est un manoir croulant et… Un vieux manoir perdu de l’antique… Entre qui veut ! Le vent, la brum… Par ses corridors vont rôdant. Ils sont chez eux dans ce vieux cœ…
Vallée-aux-Loups, frais ermitage Qu’élut un jour Chateaubriand, Son grand cœur est resté l’otage De ton décor simple et riant. Sous les tulles des soirs d’octobr…
L’horloge a tinté quatre fois. Qu’est-ce donc, ces folles risées… Comme un cygne aux ailes rosées, L’aurore glisse au ras des bois. Ce sont les filles de Pont-Croix
C’est Marivône Le Guînver, Avec ses coiffes de batiste, C’est Marivône Le Guînver Qui passe sa vie à rêver. Marivônic, Dieu vous assiste
Je vous envoie une branche De cet ajonc grêle et ras Qu’ici l’on nomme algeiras, Dont la fleur est presque blanche. Plante ingrate au teint roussi
Ce premier soir, pourquoi, pourquo… M’avais-tu dit, tout abattue, Qu’avant de te donner à moi Un autre que moi t’avait eue ? Et comment, comment, ce soir-là.
Viens-t’en nous aimer ailleurs, N’importe où, mais loin des villes… Viens-t’en sous des deux meilleurs… Ici les âmes sont viles, Ici le vent est chargé
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
LUI Qui donc es-tu, toi qui ressembles… Et dont les yeux ont l’air de sole… Dans le val de Tristesse où mes p… Tes soupirs et les miens ne se son…
Les jours lumineux de nos fiançail… Les beaux jours que rien n’est ven… Mon cœur, ô mon cœur, comme tu tre… À leur souvenir ! Ô la triste vie, ô la vie amère,
Couchants marins, orgueil des ciel… Pour mieux voir s’exalter leur lum… Viens sur la dune à l’heure où ren… Et regarde le soleil d’août, sangl… Descendre au large des Etaux.
Le calvaire. Las d’errer sans guide, Depuis le Roudou, Dans ce matin d’août Brumeux et languide,