Poésies fugitives (1807)
#ÉcrivainsFrançais
(Pour le jardin de Mme D’houdetot… Ô Combien j’aime mieux vos riants… Que ces parcs de Plutus, dispendi… Où venaient à grand bruit se cache… Et les ennuis des grands, et les c…
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
La douce rêverie et la vivacité, La gaîté jointe à la décence, La finesse avec l’innocence, Et la pudeur avec la volupté, Voilà quel heureux assemblage
Rien de nouveau dans cette ville i… Vous avez vu l’effervescence Qu’a produite en ces lieux le mona… Jamais Paris, jamais la France D’hommages plus flatteurs n’ont ho…
Est-il bien vrai qu’au séjour des… De si brillantes fleurs sous vos m… L’esprit fait les climats, l’espri… Dans nos jardins vous répandez des… Brillant comme l’été, doux comme l…
Le poète immortel d’Achille et d’… Jadis d’un ton harmonieux Chanta le prince errant de la peti… Grâce à tes vers ingénieux L’Ulysse des Français nous attach…
Cher d’Aigremont, d’où te vient,… Ce mal effréné, dont la rage Au grand galop suit ton rapide ess… Et pour qui, t’éloignant de ton do… Tu te mets en pèlerinage
Dans la famille, Autrefois j’arrivais gaiement, Mais aujourd’hui sur ma béquille Je viens un peu moins lestement Dans la famille.
Proscrit, errant, sans foyer, sans… Cet enfant nouveau né d’une épouse… Même en nous consolant ajoutait à… Mais des infortunés la généreuse a… Lui daigne ouvrir ses bras et son…
Chantre aimable, sur plus d’un ton… Sous vos habiles doigts votre lyre… Virgile, Homère, et le Tasse, et… De leurs lauriers détachent un fes… Pour composer votre couronne.
Dans votre poétique et doux pèleri… Au tombeau glorieux du chantre des… Objet sacré de plus d’un grand voy… Des enfants d’Albion, des Françai… Vous n’avez donc pas fait une cour…
Deux déités, qui de leur main féco… Versent la paix et le bonheur au m… Servant dans ses desseins le dieu… Joignent d’un double nœud tous les… C’est toi, divine Bienfaisance !
Demandés par des jeunes gens de S… Qui donnaient une fête aux jeunes… Le printemps vient, que tout s’emp… À fêter l’âge des amours : Quand sied-il mieux de chanter la…
Eh bien ! puisque l’impatience De revoir vos climats chéris, Ainsi qu’à l’amitié vous ravit à l… Partez : les nobles Potockis, Dans l’aimable François, digne sa…
Honneur à vos brillants pinceaux ! Charmante rivale d’Apelles, Tous vos portraits sont des tablea… Et tous vos tableaux des modèles.