#ÉcrivainsFrançais
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Dressage, Dompteurs de cœurs et de cerveaux, pollueurs
Aujourd’hui, de même que l’aromancier, comme la seiche, déverse méthodiquement son encre pour se dissimuler, le peintre tachiste jette sur la toile, avec une désinvolture frénétiquement...
Braves gens écoutez ma complainte écoutez l’histoire de ma vie c’est un orphelin qui vous parle qui vous raconte ses petits ennuis hue donc...
Sur une assiette bien ronde en por… une pomme pose Face à face avec elle un peintre de la réalité essaie vainement de peindre
Je peux bien le dire maintenant, tout s’efface avec le temps. J’étais allé passer la soirée chez des amis mais il y avait beaucoup de monde et je m’ennuyais. A cette époque j’étais un p...
Celui-là, c’est l’éléphant de mer, mais il n’en sait rien. L’éléphant de mer ou l’escargot de Bourgogne, ça n’a pas de sens pour lui, il se moque de ces choses-là, il ne tient pas à êtr...
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
Les revenants de Pâques ou de la Trinité traînent leurs chaînes de montre jusqu’au
souliers et ils passent devant elle et la saluent très bas de temps en temps elle leur jette un vieux cure-dents ils le sucent avec ravissement en continuant leur promenade leurs soulie...
Couleur du temps, c’est la couleur de cet album et si l’oiseau bleu n’apparaît pas flgurativement, il est là tout de même, Peter Cornélius a su le voir et nous le montre ingénument. Par...
Enfant, sous la Troisième, j’habitais au quatrième une maison du dix-neuvième. L’eau était sur le palier, parfois le gaz était coupé et souvent les encaisseurs de la Semeuse cognaient à...
À Paris autrefois, c’est-à-dire il y… La fête ça existait. La musique de carton des manèges à… Pezon, c’était beau, tendre et vio…
Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize... Répétez ! dit le maître Deux et deux quatre
C’est la guerre c’est l’été Déjà l’été encore la guerre Et la ville isolée désolée Sourit sourit encore Sourit sourit quand même