"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Que voulez-vous la porte était gar… Que voulez-vous nous étions enferm… Que voulez-vous la rue était barré… Que voulez-vous la ville était mat… Que voulez-vous elle était affamée
Une mouche sur sa main. Le soleil, pour l’empêcher de s’envoler, plante des aiguilles autour d’elle. Le soleil attire les hirondelles atteintes de ces affreuses maladies de peau qui déf...
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...
Toutes mes petites amies sont boss… Elles aiment leur mère. Tous mes animaux sont obligatoires… Ils ont des pieds de meuble Et des mains de fenêtre.
Un millier de sauvages S’apprêtent à combattre. Ils ont des armes, Ils ont leur cœur, grand cœur, Et s’alignent avec lenteur
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
Sommeil léger, petite hélice, Petite, tiède, cœur à l’air. L’amour de prestidigitateur, Ciel lourd des mains, éclairs des… Courant dans la rue sans couleurs,
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
Le jour m’étonne et la nuit me fai… L’été me hante et l’hiver me pours… Un animal sur la neige a posé Ses pattes sur le sable ou dans la… Ses pattes venues de plus loin que…
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile