"Mourir de ne pas mourir"
#ÉcrivainsFrançais
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...
À quoi penses-tu ? Je pense au premier baiser que je… Baisers semblables aux paroles du… Vous êtes au service des forces in… III
L’aube je t’aime j’ai toute la nui… Toute la nuit je t’ai regardée J’ai tout à deviner je suis sûr de… Elles me donnent le pouvoir De t’envelopper
Les corbeaux battent la campagne La nuit s’éteint Pour une tête qui s’éveille Les cheveux blancs le dernier rêve Les mains se font jour de leur san…
Pendant qu’il est facile Et pendant qu’elle est gaie Allons nous habiller et nous désha…
C’est ma mère, monsieur, avec ma f… Elles passent là-bas, l’une à l’au… La jeune m’a giflé, la vieille m’a… Je vous jure pourtant que je les a… Mais, constamment, j’avais le beso…
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
Amoureuse au secret derrière ton s… Toute nue les mots d’amour Découvrent tes seins et ton cou Et tes paupières Découvrent toutes les caresse
Toutes mes petites amies sont boss… Elles aiment leur mère. Tous mes animaux sont obligatoires… Ils ont des pieds de meuble Et des mains de fenêtre.
Un millier de sauvages S’apprêtent à combattre. Ils ont des armes, Ils ont leur cœur, grand cœur, Et s’alignent avec lenteur
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Pour ne poser qu’un doigt dessus Le chat est bien trop grosse bête. Sa queue rejoint sa tête, Il tourne dans ce cercle Et se répond à la caresse.
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,