#ÉcrivainsFrançais
Celles qui sont des fleurs légères… Figurines d’or et beautés toutes m… Où s’irise une faible lune... Les… Mélodieuses fuir dans le bois écla… De mauves et d’iris et de nocturne…
Ô frères ! tristes lys, je languis… Pour m’ètre désiré dans votre nudi… Et vers vous, Nymphe, Nymphe, ô… Je viens au pur silence offrir mes… Un grand calme m’écoute, où j’écou…
Si tu veux dénouer la forêt qui t’… Heureuse, tu te fonds aux feuilles… Dans la fluide yole à jamais litté… Traînant quelques soleils ardemmen… Aux blancheurs de son flanc que la…
La confusion morose Qui me servait de sommeil, Se dissipe dès la rose Apparence du soleil. Dans mon âme je m’avance,
Une esclave aux longs yeux chargés… Change l’eau de mes fleurs, plonge… Au lit mystérieux prodigue ses doi… Elle met une femme au milieu de ce… Qui, dans ma rêverie errant avec d…
La Pythie, exhalant la flamme De naseaux durcis par l’encens, Haletante, ivre, hurle !... l’âme Affreuse, et les flancs mugissants… Pâle, profondément mordue,
Que tu brilles enfin, terme pur de… Ce soir, comme d’un cerf, la fuite… Ne cesse qu’il ne tombe au milieu… Ma soif me vient abattre au bord m… Mais, pour désaltérer cette amour…
Parmi l’arbre, la brise berce La vipère que je vêtis ; Un sourire, que la dent perce Et qu’elle éclaire d’appétits, Sur le Jardin se risque et rôde,
Chute superbe, fin si douce, Oubli des luttes, quel délice Que d’étendre à même la mousse Après la danse, le corps lisse ! Jamais une telle lueur
Qui pleure là, sinon le vent simpl… Seule, avec diamants extrêmes ?...… Si proche de moi-même au moment de… Cette main, sur mes traits qu’elle… Distraitement docile à quelque fin…
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
Été, roche d’air pur, et toi, arde… Ô mer ! Éparpillée en mille mouche… Les touffes d’une chair fraîche co… Et jusque dans la bouche où bourdo… Et toi, maison brûlante, Espace,…
Anne qui se mélange au drap pâle e… Des cheveux endormis sur ses yeux… Mire ses bras lointains tournés av… Sur la peau sans couleur du ventre… Elle vide, elle enfle d’ombre sa g…
... Je compose en esprit, sous les… L’Admirable !... le feu, des cirq… Il change le mont chauve en august… D’où s’exhale d’un dieu l’acte ret… Si le dieu chante, il rompt le sit…
Ni vu ni connu Je suis le parfum Vivant et défunt Dans le vent venu ! Ni vu ni connu