Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Ô Don Quichotte, vieux paladin, g… En vain la foule absurde et vile r… Ta mort fut un martyre et ta vie u… Et les moulins à vent avaient tort… Va toujours, va toujours, protégé…
Prince mort en soldat à cause de l… Âme certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plei… Je t’aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pau…
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur : Aï, Beaune, Sauterne, Grave. Ton rire éclaire mon vieux cœur.
Maintenant, au gouffre du Bonheur… Mais avant le glorieux naufrage Il faut faire à cette mer en rage Quelque sacrifice et quelque honne… Jettes-y, dans cette mer terrible,
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
L’homme pauvre du cœur est-il si r… Non. Et je suis cet homme et vous… Et tous les hommes sont cet homme… Ou le seront quand l’heure opportu… Conçus dans l’agonie épuisée et pl…
Quand Marco passait, tous les jeu… Se penchaient pour voir ses yeux,… Où les feux d’Amour brûlaient san… Ta pauvre cahute, ô froide Amitié… Tout autour dansaient des parfums…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Mois de Jésus, mois rouge et or,… Juin, pendant quel le cœur en fleu… Se sont épanouis dans la splendeur… Parmi des chants et des parfums d’… Mois du Saint-Sacrement et mois d…
Au sortir de Paris on entre à Not… Le fracas blanc vous jette aux acc… L’affreux soleil criard à l’ombre… Qui se pâme, aux regards des vitra… Et l’adoration à l’infini s’étire
Soyez béni, Seigneur, qui m’avez… Dans ces temps de féroce ignorance… Mais donnez-moi la force et l’auda… De vous être à toujours fidèle com… De vous être l’agneau destiné qui…
Aussi, la créature était par trop… Qui donnait ses baisers comme un e… Indifférente à tout, hormis au pre… De la cire à moustache et de l’emp… Et j’ai ri, car je tiens la soluti…
Quand même tu dirais Que tu me trahirais Si c’était ton caprice, Qu’est-ce que me ferait Ce terrible secret