#ÉcrivainsFrançais
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
Apres un voyage trop long et des insomnies prolongées, seule la plus grande joie vient t’attendre. Sans aucune certitude ni garantie avec tous les efforts, seulement permis et promis, t...
Le timbre vient de loin Les mondes se rapprochent Sur les bords du clocher des étoil… Dans le coin des cheminées fument Ce sont des bougies qui s’allument
La maison qui ne monte plus s’immobilise net dans le paysage. Mais le soir des lumières courent des fenêtres à travers les arbres. J’ai deviné ton regard qui transparaît sous tes paupiè...
Au fond du couloir les portes s’ou… Une surprise attend ceux qui passe… Quelques amis vont se trouver là Il y a une lampe qu’on n’allume pa… Et ton œil unique qui brille
Un cortège de gens plus ou moins h… On passe entre les arbres qui s’in… Dans le silence digne, si quelqu’u… On passe devant la maison d’un poè… Bientôt, c’est un boulevard bordé…
La pièce dans le courant d’air Sous la flamme qui se répand Dans la ville endormie Près des arbres mouvants Du mur de pierres
La foule descendait plus vite et en criant. Ils venaient tous du fond, de derrière les arbres, de derrière le bois du cadre, de la maison. Chaque visage blanc avait un regard animé—et s...
Le vent trop fort ferme ma porte Emporte mon chapeau comme une feui… Tout a disparu dans la poussière Qui sait ce qu’il y a par derrière Un homme court sur l’horizon
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
Il n’est pas encore revenu Mais qui dans la nuit est entré La pendule les bras en croix S’est arrêtée
Comment me défaire de ces quelques… Tout me suit Le monde devient de plus en plus p… C’est une course rapide et éternel… Comme la vie
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas
Dans la cour au couchant Les cris perdus sous les marques d… ou la campagne Cette face tranquille et vaste La nuit qui se cache
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles