#ÉcrivainsFrançais
Il y a parfois dans la ville ceux… Le cadre illuminé passant sur les… Dans ce paysage parisien roux à l’… Il y a tous ceux qui passent feuil… Sur le fond du jardin bien rangé s…
Je ne veux plus rien voir Tous les trains sont passés Un tourbillon de neige entoure la… Qui tombe Dans un fossé
En face de mon œil la corne du cro… Au bout d’un plus long bras Que toutes les fenêtres s’éclairen… Que la lune frappe plus fort aux v… Que les plaques de plâtre avec les…
Je m’attendais à tout ce qui peut… La tête en bas Les pieds touchant la tête Et tout ce qui dans l’angle remuai… Contre le mur
Le vent revient plus tard du chemi… Les mains pendent au bord du livre Tête nue l’homme traverse l’heure… Sur la pointe où le ciel se fixe L’étoile et son pignon
Tous les flots des marines du mur pourraient se déverser dans les assiettes, avec la céruse écumante des vagues. Le fond resterait toujours bleu, derrière le soleil trop éclatant du cad...
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus
Plus je crie plus le vent est fort La porte se ferme Emporte la fourrure et les plumes Et le papier qui vole Je cours sur la route après les fe…
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
Dans le chemin La tête creuse Quand le matin réveille le dormeur L’arbre rempli de mots qui s’envol… de fruits mûrs ou d’oiseaux
Mon doigt saigne Je t’écris Avec Le règne des vieux rois est fini Le rêve est un jambon
II neige sur le mont Blanc Et une grosse cloche sonne dedans Jusqu’en bas une procession de gen… Les cœurs brûlent à feu couvert
La feuille vole cachant l’ombre Un jour de plus vient s’ajouter au… Les passants arrêtés à l’étage au-… Quelqu’un descend L’araignée monte
Le soir Le monde est creux A peine une lumière L’éclat d’une main sur la terre Et d’un front blanc sous les cheve…
Assis Le casque en bas Le monde Ou le passage étroit La rue qui monte