#ÉcrivainsFrançais
Si je regarde tout à coup n’a véri… subir cette parole intérieure sans… éphémères ; et cette infinité d’en… facilité, qui se transforment l’un… elles. Incohérente sans le paraîtr…
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
Quand le ciel couleur d’une joue Laisse enfin les yeux le chérir Et qu’au point doré de périr Dans les roses le temps se joue, Devant le muet de plaisir
Celles qui sont des fleurs légères… Figurines d’or et beautés toutes m… Où s’irise une faible lune... Les… Mélodieuses fuir dans le bois écla… De mauves et d’iris et de nocturne…
De sa grâce redoutable Voilant à peine l’éclat, Un ange met sur ma table Le pain tendre, le lait plat ; Il me fait de la paupière
Du soleil soutenant la puissante p… Qui plane et s’abandonne à l’oeil… Regard !... Je bois le vin célest… Le grain mystéri-eux de l’extrême… Je porte au sein brûlant ma lucide…
J’ai, quelque jour, dans l’Océan, (mais je ne sais plus sous quels c… Jeté, comme offrande au néant, Tout un peu de vin précieux... Qui voulut ta perte, ô liqueur ?
Penché contre un grand fleuve, inf… M’arrachent à regret aux riants en… Âme aux pesantes mains, pleines de… Il faut que le ciel cède au glas d… Le coeur dur, l’oeil distrait des…
Un soir favorisé de colombes subli… La pucelle doucement se peigne au… Aux nénuphars de l’onde elle donne… Ultime, et pour tiédir ses froides… Parfois trempe au couchant leurs r…
Tu penches, grand Platane, et te… Blanc comme un jeune Scythe, Mais ta candeur est prise, et ton… Par la force du site. Ombre retentissante en qui le même…
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
La confusion morose Qui me servait de sommeil, Se dissipe dès la rose Apparence du soleil. Dans mon âme je m’avance,
La lune mince verse une lueur sacr… Comme une jupe d’un tissu d’argent… Sur les masses de marbre où marche… Quelque vierge de perle et de gaze… Pour les cygnes soyeux qui frôlent…
Si la plage planche, si L’ombre sur l’oeil s’use et pleure Si l’azur est larme, ainsi Au sel des dents pure affleure La vierge fumée ou l’air
La Pythie, exhalant la flamme De naseaux durcis par l’encens, Haletante, ivre, hurle !... l’âme Affreuse, et les flancs mugissants… Pâle, profondément mordue,