Sur le pont-neuf, entouré de badau… Un charlatan criait à pleine tête… Venez, messieurs, accourez faire e… Du grand remède à tous les maux : C’est une poudre admirable
Que n’aurais-je donné pour un bouq… et ces feuilles tombées au prix de… gonflées jusqu’à tes lèvres de pru… ma bouche carnassière aux baisers… Que n’aurais-je donné pour un chag…
Sonnet. La robe de laine a des tons d’ivoi… Encadrant le buste, et puis, les g… Ornent le teint clair et les ligne… Le rire à qui tout sceptique doit…
Seigneur, tant d’animaux par toi d… Sont produits à ton choix, Que leur nombre infini peuple ou l… Ou les airs, ou les bois. Ceux-là sont humectés des flots qu…
Ballonné de partout, englouti par… Se façonnant en plis, fanons et bo… Il portait gai, pesant ses trois c… Le vineux monument de sa personne… Court, nez plat, petit œil encor r…
Le soleil rôdait encore autour de… Quand on ouvrit la fenêtre Les ivrognes sont toujours là Mais la chanson qui montait à la n… Maintenant quelle voix m’appelle
Puisque l’ennui, pauvre homme, Te jette encore à de nouveaux voya… Emporte au moins dans l’âme L’adieu doré des beaux jours de l’… Comme un baiser l’après-midi s’ach…
Ah ! ce bruit affreux de la vie ! Et que dormir serait meilleur Dans la terre où le caillou crie Sous la bêche du fossoyeur ! Le soleil a toute ma haine ;
L’enfant divin A l’aube d’une journée pleine de g… Petits et grand espèrent le lever… Pour s’offrir comme chaque année d… Pour partager ce grand amour venu…
Hangar monté la porte ouverte Le ciel En haut deux mains se sont offerte… Les yeux levés
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...
Sonnet XXVII. Ce n’est l’ambition, ni le soin d’… Qui m’a fait délaisser ma rive pat… Pour voir ces monts couverts d’une… Et par mille dangers ma fortune qu…
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
Quand la marquise était avec le ro… Avant l’invention d’Esther par Ma… Afin que chez Vasti Sa Majesté r… Il fallait mieux qu’un prince et p… Il fallait, pour conduire Alcandr…
À ma Mère. L’Énigme désormais n’a plus rien à… J’étreins le vent qui passe et le… Et j’entends chuchoter aux lèvres… La révélation du gouffre et du mys…
Par son toucher de velours Il fait bouger des montagnes Non, je ne parle pas de l’amour Mais bien d’un être qui soigne Il sait faire revivre l’énergie
Quand une lueur pâle à l’orient se… Quand la porte du jour, vague et p… Commence à s’entr’ouvrir et blanch… Comme l’espoir blanchit le seuil d… Se réveiller, c’est bien, et trava…
all… all… e t… – c… Il n’est pas de Samedi
La campagne, comme autrefois, Avec le bahut, et le coffre, Et l’armoire à vitrail, nous offre Le ber à quenouilles de bois. Dans le coeur d’un merisier rouge,
L’aimable et tendre Philomèle, Voyant commencer les beaux jours, Racontait à l’écho fidèle Et ses malheurs et ses amours. Le plus beau paon du voisinage,
La poésie, c est la passion . J écris des mots passants à la mai… Des articles sur l actualités . Sur les faits divers .. déroulés… Un conflit pour une histoire d eau…
Distrait et grave comme un fou, Ayant mes rêves pour cortèges, Je vais un peu je ne sais où Par les pays où sont les neiges. Je vais, et je ne saurais pas
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
À Étienne Charavay. Cette feuille soupire une étrange… Car la reine d’Écosse aux lèvres d… Qui récitait Ronsard et le Missel… A mis là pour jamais un peu de sa…
Souffle, souffle, bon vent ! Chas… Fais-nous bien vite fuir le rivage… La fierté du marin. A nous la haute mer ! À nous le bl… Où la liberté vogue, où chacun se…
Une linotte avait un fils Qu’elle adorait, selon l’usage, C’était l’unique fruit du plus dou… Et le plus beau linot qui fût dans… Sa mère en était folle, et tous le…
Fable IX, Livre III. Dans une rue, au bord du moins cla… Etait un tas de neige auprès d’un… Un carrosse a passé ; sous la quad… Du noir bourbier au loin j’ai vu j…
Quand le Soleil du soir parcourt… Et jette l’incendie aux vitres du… Je suis la Grande Allée et ses de… Tout plongé dans mes rêveries ! Et de là, mes amis, c’est un coup…
C est la rubrique d Adélos . L homme et le marteau du forgeron… Le tourangeau .. le sabre du congo… C est le rideau d arbres .. c est… Le retors, qui as vendu l horloge…
Le carillon multicolore Des clochettes au timbre clair Tinte, étincelle, tinte encore Et tintinnabule dans l’air. C’est plaisir, quand la neige crie…