Contrerime LXVI. Sur l’océan couleur de fer Pleurait un choeur immense Et ces longs cris dont la démence Semble percer l’enfer.
Berger tant rempli de finesse, Contentez-vous d’être inconstant, Sans accuser votre maîtresse D’un péché que vous aimez tant. La nouveauté qui vous commande,
Le champ Poésies .. c est les qua… Du moulin de Fresles .. c est le… C est le registre bleu .. sur le c… C est des nuances roses .. les cin… Des fragments pour traverser les a…
Sonnet. Dans les verres épais du cabaret b… Le vin bleu coule à flots et sans… Dans les calices fins plus raremen… Un vin dont la clarté soit digne d…
Les grands appartements qu’elle ha… Sont tièdes. Aux plafonds, légers… Planent d’amoureuses peintures. Nul bruit ; partout les voix, les… Par la laine opulente et molle des…
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
Voici venu le froid radieux de sep… Le vent voudrait entrer et jouer d… Mais la maison a l’air sévère, ce… Et le laisse dehors qui sanglote a… Comme toutes les voix de l’été se…
Dites, les gens, les vieilles gens… Que s’exaltent les coeurs dans vos… Dites, les gens, les vieilles gens… Que la clarté s’éveille en vos car… Qui regardent la route,
Une de plus Encore Encore un Un au revoir Un à bientôt
D’amour, dans son heureux printemp… Que femme soit le doux salaire ; Que femme, au midi de ses ans, D’amour écoute la prière : Mais qu’amitié vienne à son tour ;
Et toi, dors-tu quand la nuit est… Quand l’eau me cherche et me fuit… Quand je te donne un cœur longtemp… Dors-tu, ma vie ! ou rêves-tu de m… Démêles-tu, dans ton âme confuse,
Je ne veux pas survivre Ce n’est pas vrai Je veux simplement vivre Sans limites, sans arrêt Ressentir chaque instant
Derrière le treillis du passage à… Les filles de Strasbourg composen… Pour Marchai, gai bouquet de figu… Elles portent le court jupon de co… Et la coiffe ancienne aux larges n…
Les Levantins en leur légende Disent qu’un certain Rat las des… Dans un fromage de Hollande Se retira loin du tracas. La solitude était profonde,
L’horloge a tinté quatre fois. Qu’est-ce donc, ces folles risées… Comme un cygne aux ailes rosées, L’aurore glisse au ras des bois. Ce sont les filles de Pont-Croix
C est la colonne de Sunday . C est le texte de quelques pages… Le récit sur le journal de Rémy… C est les notes fracassantes et le… Le poète Alain s est fait enculé…
Vraie image du vrai poète, Tous les soirs, mon petit grillon, Tu nous chantais ta chansonnette Parmi les fleurs de ce balcon. Tu voulais, pour parler, cette heu…
Connais-tu ces épis sans grâce, Qui, dans une manche glissés, Par leurs poils revêches hissés, Grimpent d’autant plus qu’on les c… Tels sont, contredisant toujours
Lorsque j’étais enfant surtout, j’… Où sur leurs pieux rugueux on étal… De la bastide, afin d’y veiller sa… La claie aux roseaux drus où doit… Les pieux sont reliés de traverses…
Travailler, même avec courage, Mais sans méthode, est temps perdu… Pour faire un travail étendu Apprends à diviser l’ouvrage : Qui, pour abattre une forêt,
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Je suis sur un petit nuage Lorsque ta douceur m’engloutit, Tes cheveux d’or m’ensevelissent, Et que ta voix m’anéantit Sous ton regard d’impératrice.
Ses mots me transpercent Je ne sais pas dire pourquoi Il n’y a rien de triste au fond Il n’y a jamais rien de triste Mes larmes je ne sais pas
Adieu, mon joli cœur de rêve ! Souvenez-vous du Val-André Et de l’heure exquise et trop brèv… Où le soir mourait sur la grève Comme un andante de Fauré.