C est la dame de la poésie . L astre de mes douces nuits . La muse Lucie .. la beauté divin… Celle .. qui vient de sortir de la… Les cheveux châtains dans les étoi…
Horace avait la queue entre les ja… Quand .. il voyait les beaux garç… Un petit verre de vin .. et sous… Le gland crémeux dans la bouche . La chambre .. c est le paradis de…
C’est un article sur le journal S… C’est l histoire du scarabée d arg… Le type venait d enlever le paleto… Le gars était assis devant le feu… Où se promené l animal égyptien .
L artiste .. qui apprends les tex… Des dialogues pour quelques rôles… Des mots à réciter .. la mémoire… C est le jeu des comédiens . Le problème du vieux théâtre du be…
Une étincelle perla sur ma joue. Elle était si parfaite ! Son éclat me semblait doux Et mettait mon coeur en fête. Jamais je n’aurais cru un jour
C est le journal de Lacheteau. C est la rubrique de Friday . Le plaisir du poète Alain . C est de regarder les hommes nus s… J adore branler quelques queues .
Toi et moi ? depuis des décennies… Entre les sourires et les compromi… Entre les colères et la maladie . Les jours heureux dans le grand ja… Et les cadeaux sous le sapin .
C’est un article de Friday . C est dans les mémoires et de l hi… C est les mots bleus sur quelques… Le poète était allongé sur le lit… Son copain avait la bite en érecti…
La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
Tout ce que je sais, c’est que sans toi, je suis une partition sans accord, tu es la musique qui accompagne me… les autres sont des notes qui vire…
es mots sur des feuilles . C est un article sur le journal S… L inflation rogne notre pouvoir d… Le veau train vient d arriver au b… Le scénario d Attal .. risque bie…
Il disait : « Pourquoi ce sourire… « Pourquoi ces yeux prêts à pleure… « Pourquoi rester sans me rien dir… « Et, tout bas, pourquoi soupirer… « Quel regret des choses passées
Les rideaux sont baissés & la port… Un seul rayon perdu glisse furtive… Et vient illuminer l’atmosphère em… Là, dans son grand fauteuil la mèr… Tenant sur ses genoux la Bible de…
Devant le grand feu vif de sarment… Le père est entouré de toute sa fa… Les grand’mères en cheveux blancs, Pour qui le rude hiver de la vieil… Jonche encore de fleurs la route s…
C’est le matin, l’enfant, la paupi… Sur le sein maternel paisiblement… «—Chut ! » disait-elle avec un dou… « Tout à l’heure il rêvait sans do… « Même en dormant, & moi, quoique…
O les charmants nuages roses, Les jolis prés verts tout mouillés… Après les vilains mois moroses, Les petits oiseaux réveillés S’envolent aux champs dépouillés.
La maison est petite & de peu d’ap… Le soleil en hiver ne la visite pa… Et du nord ou du sud ne fait point… Le toit d’en face est haut & celui… Le bonheur seul y brille & réchauf…
Sur l’herbe du verger, au pied de… Le jeune homme est assis près de l… Chaque étoile à son tour pique le… Mille senteurs dans l’air, mille c… Unissent leurs parfums, croisent l…
Vous qui me plaignez, ne me plaign… Vous qui m’enviez, n’ayez pas d’en… Mon destin est tel que je le voulu… Et Dieu fit sans moi mon cœur & m… J’ai su découvrir la sérénité
Passer tout près, passer et regard… Et frémir sans oser continuer la r… Et refouler, de peur d’un indiscre… Ces derniers pleurs, tout prêts à… De lourds nuages gris que l’éclair…
Qu’écrire ? Vierge encor la page… Prête à tout elle attend mon capri… La chantante élégie en mon cœur mu… Source qui débordait de la vasque… S’épanchait d’elle-même en vers do…
Lorsque je vais m’asseoir à mon ba… Qu’il est tard, qu’il fait doux, q… Mon petit chien me garde avec soll… Tous les songes aimés dont mon cœu… Reviennent à la fois peupler ma so…
Lors de ma dix-septième année, Quand j’aimais & quand je rêvais, Quand, par l’espérance entraînée, J’allais, riant des jours mauvais… Quand l’amour, ce charmeur suprême…
Il est un arbre fier, droit, austè… Que n’aime pas l’oiseau, ni la fle… Ni la vigne flexible aux rameaux c… Floréal le dédaigne & brumaire l’o… Et jamais on ne voit que la tempêt…
Allons, ce sacrifice encore, Et puis tout sera consommé. Viens, que la flamme te dévore, Pauvre vieux trésor embaumé ! Venez, sans tarder davantage,
Tu veux faire une fugue, courir devant le monde, traverser ton époque, et restes là, posé sur le bout de ton nez,
Comme le vent d’automne emporte… Pour les ranimer un instant,… Fleur desséchée & feuille morte… En son tourbillon inconstant,… Dans ces lettres, tristes troph…
Ce petit homme grisonnant S’en venait encore à l’automne, Le regard vif, l’air avenant, En poussant son cri monotone. Mais qu’il est changé maintenant !
Les fleuves au midi roulent de lar… Entre eux le grand lion dort, cach… Sous sa rousse crinière éparse. D… On voit monter au ciel sa chaude &… Comme un soupir gonflé de haine &…
Henriette, Henriette, hélas ! com… Ont conçu, comme toi, la sainte am… De rendre une âme belle à l’égal d… Et meurent, comme toi, de leur déc… Oh ! combien, comme toi, pauvre an…