Sur la terre des hommes poussent d… Il y suffit de l’eau par la nature… Observant les étoiles qui tournaie… Un philosophe assis fit cette déco… La terre est un jardin mais l’homm…
Oh la terrible et surprenante odeu… meurt c’est l’été et pourtant les… Edmond chef de famille chef de bur… dans son pavillon de chef-lieu de… Il faut laver son linge sale en fa…
L’enfance dans le lointain de la jeunesse l’adolescent la méprise et ne veut… ce n’est plus moi dit-il c’est un petit qui ne sait pas ce…
Vois, cette branche est rude, elle… Verse la pluie à flots sur son éco… Mais attends que l’hiver s’en aill… Une feuille percer ces noeuds si d… Et tu demanderas comment un bourge…
Cette nuit-là je regardais la lune Oui j’étais à ma fenêtre et je la regardais et puis j’ai quitté ma fenêtre je me suis déshabillée
Il est terrible le petit bruit de l’œuf dur cassé… il est terrible ce bruit quand il remue dans la mémoire de… elle est terrible aussi la tête de…
Un village écoute désolé Le chant d’un oiseau blessé C’est le seul oiseau du village Et c’est le seul chat du village Qui l’a à moitié dévoré
L’espoir divin qu’à deux on parvie… Et qu’à deux on partage, L’espoir d’aimer longtemps, d’aime… Chaque jour davantage ; Le désir éternel, chimérique et to…
Dans l’immobilité, je me retrouve. Une figure solitaire, suspendue da… Le monde extérieur s’éloigne, un b… Je succombe au calme et laisse mes… Comme une rivière, mon esprit s’éc…
Dans les profondeurs de mon esprit… les mots s’attardent comme des vol… Ephémères, intouchables, refusant… Les choses que je veux dire, les pensées qui tourbillonnent com…
Je suis comme je suis Je suis faite^comme ça » Quand j’ai envie de rire Oui je ris, aux éclats J’aime celui qui m’aime
Devant la porte de l’usine le travailleur soudain s’arrête le beau temps l’a tiré par la vest… et comme il se retourne et regarde le soleil
J’ai mis mon képi dans la cage et je suis sorti avec l’oiseau sur… Alors on ne salue plus a demandé le commandant
Les fleuves au midi roulent de lar… Entre eux le grand lion dort, cach… Sous sa rousse crinière éparse. D… On voit monter au ciel sa chaude &… Comme un soupir gonflé de haine &…
Sonnet IX. France, mère des arts, des armes e… Tu m’as nourri longtemps du lait d… Ores, comme un agneau qui sa nourr… Je remplis de ton nom les antres e…
Moi aussi comme les peintres j’ai mes modèles Un jour et c’est déjà hier
Pour la première fois, quittant vo… Vous m’avez, hier soir, donné le b… Que j’allais près de vous ainsi, c… J’ai senti contre moi palpiter que… Mon visage soudain est devenu tout…
Je respire où tu palpites, Tu sais ; à quoi bon, hélas ! Rester là si tu me quittes, Et vivre si tu t’en vas ? A quoi bon vivre, étant l’ombre
Il n’avait peur de personne Il n’avait peur de rien Mais un matin un beau matin Il croit voir quelque chose Mais il dit
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les Et sitôt qu’il est seul Travaille arbitrairement S’érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l’honneur des travailleu...
Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe
En sortant de l’école nous avons rencontré un grand chemin de fer qui nous a emmenés tout autour de la terre
« Délivrez-moi de ma lourde parure… Ces longs habits, cette riche coif… Doublent encore la fatigue du soir… L’heure s’avance, et déjà du manoi… Les murs épais sont enveloppés d’o…
Dans ma maison vous viendrez D’ailleurs ce n’est pas ma maison Je ne sais pas à qui elle est Je suis entré comme ça un jour Il n’y avait personne
Oh ! Je voudrais tant que tu te souvien… des jours heureux où nous étions a… En ce temps-là la vie était plus b… et le soleil plus brûlant qu’aujou…
Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n’est plus Que me voulez-vous oiseaux Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n’es plus je ne sais…
Liberté menacée À l’heure où tout est tranquille,… Où l’on croit qu’un paradis terres… Lentement, à pas feutrés, avance u… Un spectre malin, déterminé, plein…
Sur une assiette bien ronde en por… une pomme pose Face à face avec elle un peintre de la réalité essaie vainement de peindre
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
De sa grâce redoutable Voilant à peine l’éclat, Un ange met sur ma table Le pain tendre, le lait plat ; Il me fait de la paupière