L’aurore désirée, ô filles de Byb… A déployé les plis de son riche pé… Ses yeux étincelants versent des p… Sur la pente des monts et les moll… Et, dans l’azur céleste où sont as…
Heureux l’oeil éclairé de ce jour… Qui partout ici-bas le contemple e… Heureux le coeur épris de cette gr… Toujours vide et trompé si Dieu n… Ah ! pour celui-là seul la nature…
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide
Non... Mon coeur te sent là, Peti… Qui dors pour me laisser plus vite Passer ma nuit, si longue encor, Sur le pavé comme un rat mort... –Dors. La berceuse litanie
Lorsque le jeune Edgard, après bi… Au seuil de son château s’en vint… Traversa lentement les cours aband… Et près du vieux foyer voulut enfi… Il vit avec douleur au manoir de s…
C’étaient trois matelots de Groix… Ils étaient partis tous les trois Pêcher la sole : Les pauvres garçons n’avaient pas Plus de sextant que de compas
Je vous fus présenté Madame, dans… De marbre frais et sombre où vous… Au bruit de ces jets d’eau monoton… Damasquinés ; l’or blanc cerclait… Assise à terre, à la manière orien…
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
Tandis que le sommeil réparant la… Tient enchaînés le travail et le b… Nous rompons ses liens, ô clarté t… Pour te louer dans la profonde nui… Que dès notre réveil notre voix te…
Fable V, Livre IV. Don pourceau, lâché dans la plaine… S’émancipait à travers choux, Flairant, fouillant dans tous les… Et, dans l’espoir de quelque aubai…
Puisque votre moulin tourne avec t… Allez, braves humains, où le vent… Jouez, en bons bouffons, la comédi… Je vous ai trop connus pour être d… Ne croyez pourtant pas qu’en quitt…
Donc, les soldats français auront… Après Brune et Desaix, après ces… Que nous admirons tous, Après Turenne, après Xaintraille,… Poulailler leur donner des drapeau…
France, telle qu’elle est, j’offre… Comme un autre jadis l’eût dédiée… Du temps où, sauf la cour, tout le… Pour qu’il la protégeât et qu’elle… Et d’ailleurs faudrait-il qu’on di…
Que n’as-tu comme moi pris naissan… Que n’as-tu pour tout bien un mode… Olivier ! les trésors d’un brillan… Valent-ils le bonheur que t’offrit… Tu vas donc sans regret quitter ce…
Sur les continents morts, les houl… Où le dernier frisson d’un monde a… S’enflent dans le silence et dans… Et le rouge Sahil, du fond des nu… Seul flambe, et darde aux flots so…
Enfant, on vous dira plus tard que… Vous adorait ; qu’il fit de son mi… Qu’il eut fort peu de joie et beau… Qu’au temps où vous étiez petits i… Qu’il n’avait pas de mots bourrus…
Elle as vécue au pied des corons… S était le temps du charbon . Un matin .. elle est partie sur V… Avec une seule valise . Puis .. elle s est occupée des vie…
Le temps ce soir est gros d’orage… Déjà, sous cet épais nuage, Il gronde là-bas faible et sourd : L’éclair est pâle, le ciel lourd, Et l’air muet, qu’en vain j’implor…
C’est la triste feuille morte Que le vent d’octobre emporte, C’est la lune, au front du jour, Que nulle étoile n’escorte, Au soleil, c’est mon amour,
Inexplicable cœur, énigme de toi-m… Tyran de ma raison, de la vertu qu… Ennemi du repos, amant de la doule… Que tu me fais de mal, inexplicabl… Si l’horizon plus clair me permet…
Quelle était donc, ainsi, tout de… Cette femme, là-bas, d’un si lugub… En me croisant, m’ayant laissé voi… Le crâne dans du linge et la figur… Mais, verte ! de ce vert végétal,…
Sur les monts vaporeux la nuit jet… Mon œil suit lentement sa marche d… Et je vois s’avancer, resplendissa… Son char silencieux. Le vent du soir émeut les feuilles…
Tu es là Quand le peuple de Dieu se rassem… Que les coeurs s’ouvrent devant ce… Et quand nos âmes s’élèvent ensemb… Mon Dieu tu es là, tous les jours…
Fable XVII, Livre IV. Une ourse avait mis bas ; ourses d… D’accourir pour voir le poupon. « Est-ce une fille ? Est-ce un ga… Est-il bien gros ? Est-il bien sa…
Vous triomphez de moi, et pour ce,… Ce Lierre qui coule et se glisse… Des arbres et des murs, lesquels,… Plis dessus plis, il serre, embras… A vous, de ce Lierre appartient l…
Oh ! pourquoi de ce Temps, l’étof… Ne pouvons-nous, dis-moi, jouir à… Sans le déchirer par lambeau ? Des trois formes qu’emprunte une e… Passé, présent, futur, l’homme n’e…
Quand je te voy seule assise à par… Toute amusée avecques ta pensée, Un peu la teste encontre bas baiss… Te retirant du vulgaire et de moy… Je veux souvent pour rompre ton es…
Il m’arrive de me représenter, Bien souvent, la nuit, une belle s… Dans laquelle je m’en vais, me déc… Pour t’avouer toute la vérité. Nous sommes alors dans la cour, en…
Sois pure comme la rosée, Comme le ciel que tu reflètes ; Sois légère aux herbes brisées, Ame tremblante du poète. Colore-toi du sang de l’aube,
J’ai cru à tout jamais notre joie… Comme un soleil fané avant qu’il n… Le jour qu’avec ses bras de plomb,… M’a lourdement traîné vers son fau… Les fleurs et le jardin m’étaient…