Mère, ouvre le rideau ! le soleil… Vient jeter sur mon lit ses rayons… Ce jour vient de ma nuit chasser l… Il fait si doux, si pur un matin d… On voit les monts neigeux par-dess…
Combien connaissez-vous d’hommes v… Sur le globe terrestre ?—A part m… Aux élus qui du ciel ont tout reçu… Je n’en trouve qu’un seul... Il v… Le fils d’un paysan, paysan comme…
(M. Puget qui fut ensuite Évêque… 1614. (Le mari parle.) Celle qu’avait Hymen à mon cœur a… Et qui fut ici-bas ce que j’aimais…
DERNIER MOT. Un dernier mot, Pascal ! À ton tour de m’entendre Pousser aussi ma plainte et mon cri de fureur. Je vais faire d’horreur frémir ta noble cendre, Mais du moins j’aurai d...
Voici l’heure décolorée : La créole a quitté l’ombrelle Et bâille dans son hamac frêle Au bruit de la vague éplorée. Les chatoiements du clair de lune
J’avais le souvenir d’ineffables a… De ruisseaux cascadants cachés dan… De pourpres archipels et de grèves… Que visitent les flots crêtes et l… Je gardais le sourire accueillant…
Nous sommes en des temps infâmes Où le mariage des âmes Doit sceller l’union des cœurs ; À cette heure d’affreux orages, Ce n’est pas trop de deux courages
Sous quels cieux nouveaux, ô mon g… Ta sonore tente a-t-elle émigré ? Moi dont l’amitié te suit à la pis… Je reviens, ce soir, solitaire et… Revoir un doux lieu par toi consac…
Princesse ! à jalouser le destin d… Qui poind sur cette tasse au baise… J’use mes feux mais n’ai rang disc… Et ne figurerai même nu sur le Sè… Comme je ne suis pas ton bichon em…
C est le chapitre de l hiver . C est la rubrique du mardi matin… Les enfants des rues du Trop Kadé… Du sarouth et du rouge riz voltril… C est les gamins misérables .. me…
0 envies 2000 pensées 10000 émotions quand la vie devient fade et grote… et que mon œil se tourne vers l’ho…
Dans votre poétique et doux pèleri… Au tombeau glorieux du chantre des… Objet sacré de plus d’un grand voy… Des enfants d’Albion, des Françai… Vous n’avez donc pas fait une cour…
(Sur une plage peinte d’insectes e… Insectes bourdonnants, papillons,… Aux touffes des rosiers lianes enr… Convolvulus tressés aux fils des l… Pervenches, beaux yeux bleus qui r…
Que ces vallons déserts, que ces v… Où j’allais promener mes tristes r… Que ces rivages frais, que ces boi… Que tout prenne une voix et retrou… Et porte jusqu’au sein de Ta Tout…
Sois bien sage, dors, petit frère… A la vitre baisse le jour ; Sans pleurer, attends mon retour Dans ta couchette solitaire. Partons ; lui, du moins, n’a pas f…
Bois où je voudrais vivre, il faut… Depuis l’aube égayant les moissons… Jusqu’au soleil pâli des vendanges… J’ai voulu contempler la grande œu… Au bois j’ai vu passer, avec ma rê…
Si tu veux abuser mon coeur D’une autre image que la sienne, Peu à peu, tristement moqueur, Il retrace l’image ancienne. C’est un pêle-mêle inouï,
Je suis comme cette plante, Quand j’ai assez d’eau et de solei… Je bourgeonne, je grandi, et j’écl… Je m’accroche, quand le vent et le… Je bois l’eau de la pluie quand el…
Ai-je voulu ma vie assez libre et… Pleine d’amour, de bruit, de dépar… L’ai-je nourrie assez de labeurs,… De quadrilles parmi les passions h… Et de courses vaguant des bas-fond…
Odette, vos cheveux vermeils Ont le jaune éclat des soleils Parmi les moissons enchantées, Et caressent en nappes d’or Vos tempes plus blanches encor
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
(Pour M. de La Ceppède, premier… Des Comptes de Provence, au sujet… Spirituels sur la vie et la passio… 1612. J’estime La Ceppède, et l’honore,…
Je t’aime à l’infini. Je ne pense qu’à toi, Tes yeux verts me fascinent, Devant toi je flamboie, Ta splendeur me calcine.
Comme en un préau d’hôpital de fou… Le monde anxieux s’empresse et s’a… Autour de mes yeux, poursuivant au… Le rêve que j’ai quand je pense à… Mais n’en pouvant plus, pourtant,…
Le jour est à sa place et coule à… A moins que l’être monte à travers… Superposés dans la mémoire et déle… La cervelle et le cœur de souvenir… Étés, puissants étés, votre nom mê…
Poète errant au bord de cette mer… Suspens le pas et vois... vois ce… En fondant sur la grève elle y pre… Quelque caillou grossier qui gisai… De silex, de granit quelque rude p…
Un gentil écureuil était le camara… Le tendre ami d’un beau danois. Un jour qu’ils voyageaient comme… La nuit les surprit dans un bois. En ce lieu point d’auberge ; ils e…
Toi par qui j’ai senti, pour des h… Ma jeunesse renaître et mon cœur r… Sois bénie à jamais ! J’aime, je… J’ai vécu le meilleur et le plus b… Et vous qui me rendiez le matin de…
Épigramme. Ce castré si souvent discourt Des fortes passions d’amour Qu’il en a pris la caquesangue (*)… Mais il est heureux en ce point
Halte, voiturin ! Je veux, au riv… Suivre ici la route en humble piét… Il eut pour berceau cet obscur vil… Celui dont ce mur porte inscrit le… Tout jeune, il venait s’asseoir à…