Vous souvient-il, cocodette un peu… Qui gobergez vos flemmes de bourge… Du temps joli quand, gamine un peu… Tu m’écoutais, blanc-bec fou qui d… Gardâtes-vous fidèle la mémoire,
Ah ! si Vous avez à Tolède, Un vitrier Qui vous forge un vitrail plus rai… Qu’un bouclier !... À Tolède j’irai ma flamme
À Mada… Les vers n’arrivent pas au gré de… L’heure du feu sacré ne saurait se… Dites-vous au bouton qu’il devienn… À l’oiseau dans son nid que sa cou…
Loin des grands rochers noirs que… La mer calme, la mer au murmure en… Au large, tout là-bas, lente s’est… Et son sanglot d’amour dans l’air… La mer fauve, la mer vierge, la me…
L’automne fait les bruits froissés De nos tumultueux baisers. Dans l’eau tombent les feuilles sè… Et sur ses yeux, les folles mèches… Voici les pèches, les raisins,
Ce refuge dans ta main Dans ce combat de tout les instant… Je lutte encore et encore quel qu’… Fatigué, abandonné et perdant tout… Je n’avais qu’un désir, sortir de…
Revêtu de mes yeux jour de pluie ; l’eau coule sur mes cris, inonde mes fondations. J’homicide cette course vide avec un couteau
Notre chère Sam part, elle vole v… Un horizon en place, mais bientôt… Cette ville bancale, où trône un m… L’intellect national, caché par du… Elle nous manquera pas, juste que…
Sonnet. L’été, ces deux bouleaux qui se fo… Avec ce délicat et mystique feuill… D’un vert si vaporeux sur un si fi… Ont l’air extasié devant les yeux…
Soyez les bienvenus .. J adore la compagnie des hommes… J aime branler quelques bites . Jouir comme un dieu grec . Lécher le gland crémeux .
Sonnet V. Ronsard si tu as su par tout le mo… L’amitié, la douceur, les grâces,… Les faveurs, les ennuis, l’aise et… Et les chastes amours de toi et ta…
Après ces cinq longs mois que j’ai… J’interroge mon cœur ; il est rest… En Mai, dans la jeunesse exquise… J’ai souffert en songeant à ses be… Quand la nature, en Juin, de rose…
Il est, non loin des tièdes syrtes Où bleuit la mer en repos, Un bois d’orangers et de myrtes Dont n’approchent point les troupe… Là, sous l’ombre antique d’un arbr…
Combien elle est facilement ravie Avec ses yeux d’extase ignée ; Elle, la douce et résignée Si simplement devant la vie. Ce soir, comme un regard la surpre…
Oh ! pourquoi partir sans adieux ? Pourquoi m’ôter ton doux visage, Tes lèvres chères et tes yeux Où je n’ai pas lu ce présage ? Pourquoi sans un mot de regret ?
Perfidie cruelle Comme les dunes des désert qui se… Le cœur de l’homme est instable, p… Pour faire preuve tantôt d’une vas… Cher ami, nous avons tant cheminé…
Etna– j’ai monté le Vésuve... Le Vésuve a beaucoup baissé : J’étais plus chaud que son effluve… Plus que sa crête hérissés... —Toi que l’on compare à la femme..…
Fable II, Livre V. Je suis un peu badaud, je n’en dis… Tout m’amuse ; depuis ces batteurs… Depuis ces brillants automates, Dont Gardel fait mouvoir et les p…
Hé quoi ! vous êtes étonnée Qu’au bout de quatre-vingts hivers… Ma Muse faible et surannée Puisse encor fredonner des vers ? Quelquefois un peu de verdure
Ta vie est sacrée et ta personne frappe d’épouvante les meurtriers. Le tabou est sur toi, le tabou est sur nous, car nous avons ravivé les anciennes coutumes et les usages préhistorique...
Entouré de magie, tu vois le préci… Celui des ornements, des chemins d… Ou les cailloux brille, où les ois… Celui des anges blancs, descendu d… Pour annoncer la vie, projette l’a…
Sur la bruyère arrosée De rosée ; Sur le buisson d’églantier ; Sur les ombreuses futaies ; Sur les haies
Jamais, avez-vous dit, tandis qu’a… Résonnait de Schubert la plaintiv… Jamais, avez-vous dit, tandis que,… Brillait de vos grands yeux l’azur… Jamais, répétiez-vous, pâle et d’u…
Où trouver la côte et la mer Groënland, Afrique, Islande, Esp… Où je pourrais m’en aller fier, Moi qui n’ai pas trouvé mon pair ? J’ai la misère pour compagne
Blanche a de grands yeux bleus d’u… Qu’elle ferme à demi, d’un air ten… Son petit nez mutin est rose et tr… Elle a dans ses contours des molle… De son corps assoupli l’harmonieus…
Sonnet XXXVI. Depuis que j’ai laissé mon naturel… Pour venir où le Tibre aux flots… Le ciel a vu trois fois par son ob… Recommencer son cours la grand lam…
Couple heureux et brillant, vous q… Dès longtemps comme un hôte à vos… Qui m’avez laissé voir, en votre d… Triomphante, et d’éclat partout en… Le cours intérieur de vos félicité…
Sonnet CVII. Où que je tourne l’œil, soit vers… Vers les bains d’Antonin ou Diocl… Et si quelque œuvre encor dure plu… De la porte Saint-Pol jusques à…
Je fu en fleur ou temps passé d’en… Et puis après devins fruit en jeun… Lors m’abaty de l’arbre de plaisan… Vert et non meur (1), Folie ma ma… Et pour cela Raison, qui tout red…
Auteur de toute chose, essence en… Dieu tout-puissant, qui régis l’un… Dans la profonde nuit nous t’offro… Écoute-nous, et vois nos maux dive… Tandis que du sommeil le charme né…