Je t’appellerai... Tu me répondras, Pendant tes heures de travail, Puis tu sortiras, Et je serai là,
Déjà la rapide journée Fait place aux heures du sommeil, Et du dernier fils de Vannée S’est enfui le dernier soleil. Près du foyer, seule, inactive,
Synopsis : poème militant homosexu… “ Dure réalité de l’emprisonnement… Tragi-comédie du cassage d’homo d’… Poème mis en ligne sur Poésies qu… Mes jours bringuebalants à l’orniè…
Ne me dis pas que j’ai du pain à m… Il est à moi puisque j’en ai envie… Remarquez qu’on lui a mis de la sa… S’il continue à bouffer de ce trai… Sans parler de ce que je tiens dan…
Contrerime XLII. À l’Alcazar neuf, où don Jayme Gratte un air maugrabin, Carmen dansant dans son lubin : Ce n’est pas ce que j’aime.
À Mlle Emilie Bascans. Si j’étais assez grande, Je voudrais voir L’effet de ma guirlande Dans le miroir.
J adore sucer les hommes . Le plaisir, de sentir son membre m… Gonfler .. durcir par les caresses… Je passe ma langue sur le gland cr… Et je commence à pomper la bite .
Quelquefois, après des ébats polis… J’agitai si bien, sur la couche en… Le crincrin de la blague et le sis… Que les bras t’en tombaient du lit… Après ça, tu marchais, tu marchais…
Je ressens un vide, un vide immense, un vide qui était plein, un vide qui fait mal, un vide avec lequel il faut vivre. Mais ce vide est coloré, une belle couleur, une couleur qu’on ne p...
C est les quarante nuances bleues… C est la rubrique du poète et de l… L homme est heureux .. content et… Tu vois .. il vit avec un mec mus… Le plaisir de se faire sodomisé .
J’ai vu sur la colline, Pieds nus, cheveux au vent, Aline Qui s’en allait rêvant. Les roses éphémères
Une ligne au diapason Mon regard Le battement de mes artères Je file incognito Et l’on voit venir la lumière
Un Barde a vu sa reine fugitive : Il dit qu’un luth, exprimant sa do… De son retour avertissait la rive Où la rappelle un trône... ou le m… Lorsque sa voix, et peut-être ses…
Sonnet. Beauté qui rends pareils à des tem… Es-tu donc à ce point par les dieu… De descendre du ciel sur la prosti… De prêter ta splendeur vivante à d…
J’ai comme envie de fuir ma vie Alors je regarde ces vidéos Qui me font vibrer et me donnent e… De vivre pour ces idéaux J’ai réussi ma vie
Le Temps ne surprend pas le sage, Mais du Temps le sage se rit, Car lui seul en connaît l’usage : Des plaisirs que Dieu nous offrit Il sait embellir l’existence,
Ces lettres d’autrefois j’avais so… ..................................… La brume qui voilait le passé se d… Les lieux et les objets anciens ch… Je redeviens celui qui voyait son…
Deux Mulets cheminaient, l’un d’a… L’autre portant l’argent de la Ga… Celui-ci, glorieux d’une charge si… N’eût voulu pour beaucoup en être… Il marchait d’un pas relevé,
Prière aux innocents. Beaux innocents, morts à minuit, Réveillés quand la lune luit ! Descendez sur mon front qui pleure Et sauvez-moi d’entendre l’heure.
Quand la lune apparaît dans la bru… Quand l’ombre émue a l’air de retr… Lorsque le soir emplit de frissons… Les pâles ténèbres des bois, Quand le boeuf rentre avec sa cloc…
Une goutte Trois gouttes Deux gouttes Non Le cœur bat 1,333333... Fois par…
Stance. Que vous sert-il de me charmer ? Aminte, je ne puis aimer Où je ne vois rien à prétendre ; Je sens naître et mourir ma flamme…
Sonnet X. Bien que la guerre soit âpre, fièr… Et qu’un douteux combat dérobe la… Que de deux camps mêlés l’une et l… Perde son espérance, et puis la re…
Trop tard Après de longues années de silence… Auxquelles mon coeur était armé de… Je n’ose croire que j’ai commis l’… Le temps est passé ainsi que mon b…
Comme sur un beau lac où le feuill… Deux cygnes dans l’azur au loin vo… Comme deux fiers chevaux, buvant a… Courent échevelés dans le feu des… Comme en un bas-relief plus blanc…
Et puis arrive la douceur d’un dim… Alors que nos âmes s’éveillent dou… J’effleure ton corps J’effleure ton visage J’effleure tes lèvres
Sonnet. Un grand chemin ouvert, une banale… À travers vos moissons ; tout le j… Poudreuse ; dont le bruit vous ôte… Où la rosée en pleurs n’a jamais u…
Je voyage dans l’univers Chaque fois que tu m’émerveilles, Toi et tes cheveux de soleil, Avec là tes perçants yeux verts. Maintes aurores boréales
(Pour les hommes.) Si tu te plains que ta femme est t… L’ayant gardée trois semaines en t… Attends un an, et tu perdras à cou… L’occasion de t’en plaindre à pers…
Je n’ai jamais compris l’ambition.… Que l’homme simple trouve en lui s… Et le modeste sort dont je suis en… Si je travaille bien et si je devi… Sans que mon cœur de luxe ou de gl…