L’océan d’argent couvre tout Avec sa marée incrustante. Nous avons rêvé jusqu’au bout Le legs d’un oncle ou d’une tante. Rien ne vient. Notre cerveau bout
Par quelle démence je t’aime Je ne sais pas Par quelle inclinaison funèbre J’ai le goût de la souffrance Et par quelle divine blessure
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends. Vous attendez aussi mais je ne sais plus quoi. Pourvu que quelque chose arriv...
Pars, puisque la gloire t’appelle… Mais lorsque tu t’enivres d’elle, Oh ! du moins, souviens-toi de moi… Quand la louange autour de toi Se répand douce à ton oreille,
Yung-Frau, le voyageur qui pourra… S’arrêter, et poser le pied sur sa… Sentirait en son coeur un noble ba… Quand son âme, au penchant de ta n… Pareille au jeune aiglon qui passe…
À mon ami Antoni D****. Après la moisson faite et tous les… Quand depuis plus d’un mois les ch… Qu’il gèlera demain, et qu’une foi… L’Automne, du plus haut des cotea…
Ô peuples ! Savez-vous (c’est l’op… Qu’au sein de vos cités râle une o… Minuit sonne, écoutez ! C’est l’h… Où des vieillards quinteux, couron… Vont d’un pas chancelant assouvir…
(Sur ses œuvres spirituelles.) 1611. Tu me ravis, Du Maine, il faut qu… Et tes sacrés discours me charment… Que le monde aujourd’hui ne m’étan…
Je reposais sous l’ombrage, Quand Nœris vint m’éveiller : Je crus voir sur son visage Le feu du désir briller. Sur son front Zéphyr agite
A tous les hommes que j’ai aimé, Ne vous faites pas d’illusions Il n’a jamais été question de vous Je n’ai aimé que vos manières, vos… Que pour la simple raison que je n…
Bonheur si doux de mon enfance, Bonheur plus doux de mon printemps… Je n’ai plus que la souvenance De vos courts et joyeux instants. Triste, sur la rive étrangère,
Longueur du pénis . 13 cm .. pénis joyeux . 15 cm .. pénis crémeux . 17 cm .. pénis audacieux . 19 cm .. pénis vigoureux .
Un bon mari, sa femme et deux joli… Coulaient en paix leurs jours dans… Où, paisibles comme eux, vécurent… Ces époux, partageant les doux soi… Cultivaient leur jardin, recueilla…
Prières En ces temps où je nage dans le bo… Dans le noir, je veux te prier Se… Te prier pour ce que tu fais pour… Te remercier de ce que je suis pou…
Chaque bêtise nous pousse encore,… Nous n’avons pas d’remboursement,… Qu’on le refrai et qu’on fuirait,… Car on n’est pas tous des brigands… Nous on le vole que pour l’brûler,…
Que fais-tu là, chère attendue ? L’ennui fâcheux vient-il souvent Rendre à ton doux esprit rêvant Une longue visite indue ? Fais-tu des voyages charmants
Le chemin devant moi N’est pas une ligne droite Il y a des courbes et des raccourc… Il est large et étroite Il y a des hauts et des bas
La vie Des instants passent, Et cette vie me lasse ; Un temps où l’on nait, Une fin où l’on dort a jamais.
Qui veut rester fier et debout Offense les âmes serviles ; Il faut s’abaisser jusqu’au bout Pour réussir aux œuvres viles. J’admirais fort l’habileté ;
Il est doux d’obtenir l’estime ; Il est mieux de la mériter. Attends, sans la solliciter, Cette heure d’allégresse intime ; Et jusqu’à la mort, s’il le faut,
Le monde est tapissé de blanc ce matin et la ville est silencieuse. Le printemps est mis sous cloche et mes rêves se taisent. Comme toi. Chaque silence a sa mélodie et le tien est comme...
Pourquoi vous asservir au ridicule… De ces mots sans pensée idiome moq… Qui, comme une beauté qui farde so… Eblouit un instant, et n’émeut pas… Laissez tout ce clinquant à de pet…
Dès que la nuit sur nos demeures Planera plus obscurément ; Dès que sur l’airain gémissant Le marteau frappera douze heures ; Sur les pas du fidèle Amour,
Les saphirs durs et froids, voilés… De l’orgueilleuse chair, ressemble… D’où jaillissent de bleus rayons s… Inquiétants éclairs d’un soir chau… Couvrant le front, comme au hasard…
Tandis que le sommeil réparant la… Tient enchaînés le travail et le b… Nous rompons ses liens, ô clarté t… Pour te louer dans la profonde nui… Que dès notre réveil notre voix te…
Pourquoi t’es tu caché, pourquoi e… Pourquoi s’aventurer, pourquoi viv… Aucune volonté, juste de la survie… Juste une velléité, changer et dev… Enchaîner les stupeurs, entre les…
Qui donne sans prendre Sans rien apprendre ? Qui octroie de la valeur à un gest… Qui est immodeste ? Quel maître de l’équilibre
Le jour Ils se croisaient dans leur étable… Leurs durs regards obstinément fix… Et tous les deux, ils s’acharnaien… Elle, ses porcs, et lui, ses boeuf…
C est la poésie et la vie est trop… Tout peut basculer en trois minute… Tu vois l ami .. il ne faut jamai… Ne pas se laisser manipuler par d… Tu as la chance d être vivant .
Tristes circonstances C’est dans la peine que je te voya… Je te voyais tous les jours rejeté… Depuis longtemps tu avais perdu le… Chaque jour, cela devenait de pire…