On connaît toujours trop les cause… Mais on cherche parfois celles de… Je m’éveille parfois l’âme toute s… Sous un charme étranger que je ne… Un ciel rose envahit mon être et m…
–N’aimes-tu pas ce temps de discrè… Aube faite de grâce et de sérénité… Où, rêvant qu’une bouche appuiera… Tu marches au hasard, distrait quo… Tu parles et tu ris, l’esprit cour…
Voyager seul est triste, et j’ai p… Dans une étrange hôtellerie. À la plus vieille chambre un enfan… De galerie en galerie. Je me suis étendu sur un grand lit…
Muse, un nommé Ségur, évêque, m’e… Cet homme violet me damne en mauva… Sa prose réjouit les hiboux dans l… Ô Muse, n’ayons point contre lui d… Laissons-lui ce joujou qu’il prend…
Sitôt que j’eus le franc usage de… Je le mis en des mains qui s’ouvra… C’étaient de douces mains, si bell… Dont le toucher était délicieux et… Heureux et frémissant de les senti…
Avant que mon adieu salue avec tri… Paris, ce beau Paris qui fut l’hu… Et que j’aille revoir les fortunés… Où Marseille au rivage aligne tan… Laisse-moi rafraîchir, ami, dans t…
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice
Jeune homme ! je te plains ; et ce… Ton grand parc enchanté qui semble… Qui fait, vu de ton seuil, le tour… Grave ou joyeux suivant le jour et… Coupé d’herbe et d’eau vive, et re…
À Monsieur Ernest Legouvé. Ravi des souvenirs clairs de l’eau… La terre, j’ai conçu cette chanson… Derrière l’horizon sans fin, plus… Les montagnes, sur leurs sommets q…
Pendant qu’au loin la grave et len… Des cloches se répand, pareille au… Portant les saints de bois et les… La procession va, se développe et… Les bannières d’abord, presque san…
Au pays où se fait la guerre Mon bel ami s’en est allé ; Il semble à mon cœur désolé Qu’il ne reste que moi sur terre ! En partant, au baiser d’adieu,
Souvent, le front posé sur tes gen… Plus faible que ton cœur amoureux,… Et ma main qui frémit en recevant… Se dérobe aux baisers de feu dont… « Mais, dis-tu, cher petit enfant,…
Brune à la taille svelte, aux gran… À la lèvre rieuse, aux gestes sémi… Blonde aux yeux bleus rêveurs, à l… La jeune fille plaît : ou réservée… Mélancolique ou gaie, il n’importe…
Je passais près du feu dans la sal… Aux volets clos, aux lumières étei… Et je vis qu’il brûlait encore, et… En cet instant à ce point d’équili… Entre les forces de la cendre, de…
Gallus Chanteurs mélodieux, habitants des… Le ciel pâlit, Vénus à l’horizon… Cynthia vous écoute, enivrez son o… Versez-lui le flot d’or de vos bel…
Vous voulez à tout prix la mélanco… Votre rire fait peur, il donne le… Celui du désespoir, celui de la fo… N’ont pas un plus étrange son. Quel sera votre sort ? L’horizon…
On ne songe à la Mort que dans so… Au sépulcre éloquent d’un être qui… J’ai, pour m’en pénétrer, fait un… Et je pèse aujourd’hui ma tristess… Je veux, à mon retour de cette som…
Parfois dans mon miroir où larde l… Je m’apparais songeant sur un fond… La fenêtre d’en face y fait danser… Son feuillage d’été que la brise c… Une bruine d’or s’effrite sur mes…
J’irai, j’irai porter ma couronne… Au jardin de mon père où revit tou… J’y répandrai longtemps mon âme ag… Mon père a des secrets pour vaincr… J’irai, j’irai lui dire au moins a…
Le vallon fait silence : un vent a… La feuille qui parfois tremble et… Le bruit seul des ruisseaux s’élèv… Et, là-haut, dans les airs pleins… Les étoiles au ciel s’ouvrent, pau…
Tout enfant, j’allais rêvant Ko-H… Somptuosité persane et papale Héliogabale et Sardanapale ! Mon désir créait sous des toits en… Parmi les parfums, au son des musi…
Quand je me hasarde à descendre Jusques aux bas-fonds du désir, À l’heure où l’on pèse la cendre Que laisse après soi le plaisir ; Ou quand je sonde l’origine
Nous sommes deux enfants et nous s… Nos cœurs sont enlacés ; nous enla… Toi, femme aux pleurs bénis, forte… Moi, sérieux, déjà penché sur les… Nous vivons ; nous chantons ; nous…
Ô Vénus de Milo, guerrière au fla… Dont le front irrité sous vos divi… Songe, et dont une flamme embrase… Calme éblouissement, grand poème d… Débordement de vie avec art compen…
Ne pourrai-je saisir un espoir qui… Ni voir luire la foi dans la clart… Dis, ô joyeux soleil dont le rayon… Réponds, toi que je sens dans la l… Je ne sais si je crois en Dieu !…
Blotti comme un oiseau frileux au… Les yeux sur ton profil, je songe… Immobile sur les coussins brodés,… L’enchantement ancien, la radieuse… Et les rêves au ciel de tes yeux v…
Il chante encor, l’essaim railleur… Bien protégé par l’épine et le hou… Que le zéphyr caresse par bouffées… Diane aussi, l’épouvante des loups… Au fond des bois cache son cœur ja…
Sonnet. La pudeur n’a pas de clémence, Nul aveu ne reste impuni, Et c’est par le premier nenni Que l’ère des douleurs commence.
Tout est fini : la nuit surgit, le… Le toit s’est écroulé sur l’hôte c… Et près du moribond immobile et qu… On passe, le regard distrait ou so… Ainsi ceux qui l’ont vu jadis en s…
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal