Oh ! me coucher tranquillement Pendant des heures infinies ! Et j’étais pourtant ton amant Lors des abandons que tu nies. Tu mens trop ! Toute femme ment.
Adieu, mon joli cœur de rêve ! Souvenez-vous du Val-André Et de l’heure exquise et trop brèv… Où le soir mourait sur la grève Comme un andante de Fauré.
Pourquoi vous asservir au ridicule… De ces mots sans pensée idiome moq… Qui, comme une beauté qui farde so… Eblouit un instant, et n’émeut pas… Laissez tout ce clinquant à de pet…
Les saphirs durs et froids, voilés… De l’orgueilleuse chair, ressemble… D’où jaillissent de bleus rayons s… Inquiétants éclairs d’un soir chau… Couvrant le front, comme au hasard…
Une joie intense Aujourd’hui je rend hommage à mon… Car une joie intense inonde mon âm… Mes yeux scintillent de bien-être,… Mes deux mains s’élèvent au ciel e…
Oh ! les heures du soir sous ces c… La lumière en est belle et la lune… Et l’ombre souple et claire y répa… Les mobiles dessins d’un feuillage… Oliviers d’Aragon, figuiers de Ca…
Sonnet. Je ne vous ferai pas de vers, Madame, blonde entre les blondes, Vous réduiriez trop l’univers, Vous seriez reine sur les mondes.
Auxiliaire des mots . C est l auxiliaires des mots . Une colonne sur la page d’accueil… Le poète Alain est un homme de te… Le plus coriace en quelques maux .
J’ai rencontré avec sa lumière bla… Je ne respire plus... Un adieu in… Et maintenant, dites-moi si cette sera perpétuel... Allez, mensonge… Dites-moi qu’il me reste encore du…
Avec trop d’énergie, en descente d… Vainqueur d’un bien grand roi, qui… Pauvre petit arrogant, qui ricoche… Il n’a pas fait semblant, s’ouvran… Nous sommes tous des enfants, qui…
Amour profond Je te connais depuis longtemps mon… Et plus je te connais, plus mon co… Je ne te regarde plus comme avant, Ce n’est plus tes formes que j’ape…
Sonnet. J’ai rêvé l’archipel parfumé, mont… Perdu dans une mer inconnue et pro… Où le naufrage nous a jetés tous l… Oubliés loin des lois qui régissen…
__ Elle, Sapiens, Être, et Homo sour… Entend par sa fenêtre encenser son… Entre petite sainte eupatride éten… et la pute sans crainte encanaille…
Bonjour la poésie . Le vingt cinq décembre .. le réci… Lucie et Alain vous souhaite un j… Avec l étoile et le bleu du ciel… Pleins de cadeaux sous le sapin .
Quant vint a la prochaine feste Qu’Amours tenoit son parlement, Je lui presentay ma requeste Laquelle leut tresdoulcement, Et puis me dist : « Je suy dolent…
Chaque année, à Noël, on prétend… Mystérieusement quitte son beau ci… Et, pour rendre visite aux chrétie… Troque son manteau bleu contre un… Au velours élimé de son étroit jus…
C est la plume de l auteur . C est la rubrique de la gazette . Le chat cerbère .. c est le vieux… Qui as bien rouler sa botte . C est Alain le poète raconteur .
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
À Étienne Charavay. Cette feuille soupire une étrange… Car la reine d’Écosse aux lèvres d… Qui récitait Ronsard et le Missel… A mis là pour jamais un peu de sa…
Ils avaient tout un jour, assidus… Travaillé du marteau, du rabot, de… Charpentiers d’aventure, ils rajus… De leur chaloupe usée, au pont min… Qui hors du flot gisait.—Hélas !…
Me pardonneras-tu un jour, J’ai perdu ton amitié bêtement. Je me suis rendu coupable. Sans ta permission. J’ai gravé ton ombre par-dessus la…
Élégie IV. Dieu des amours, le plus puissant… Le seul du moins qu’adora ma jeune… Il m’en souvient, dans ce moment h… Où je fléchis mon ingrate maîtress…
Le soir couchant ferme une porte Nous sommes au bord du chemin Dans l’ombre près du ruisseau où tout se tient Si c’est encore une lumière
Viens au soleil, mon doux ami : co… Efface de tes yeux la lune acariât… Il fallait que la foudre incendiât… Et que le vent soufflât sur l’atre… Les clos d’Alésia ne sont-ils plu…
Mon regard, posé sur ton corps à l… Ma peau brule, au contact de la ti… Ne restant plus que mon cœur Se battant contre la raison Pourvu que ton âme se mêle à la mi…
Ma vie, je la vis maintenant Parce que hier ne sera qu’un souve… Les larmes d’hier ne seront que tr… Les joies d’aujourd’hui ne seront… Je m’accroche à l’idée que cette f…
J’aurais bien voulu vivre en doux… Vivre d’un radis et de l’eau qui c… Mais l’art est si long et le temps… Je rêve, poignards, poisons, dynam… Avoir un chalet en bois de sapin !
La vanité nous rend aussi dupes qu… Je me souviens, à ce propos, Qu’au temps jadis, après une sangl… Où, malgré les plus beaux exploits… Maint lion fut couché par terre,
1766. Si vous brillez à votre aurore, Quand je m’éteins à mon couchant ; Si dans votre fertile champ Tant de fleurs s’empressent d’éclo…
D’avoir creusé ces failles invisi… J’ai retrouvé le plus grand canyon… Entre ma gorge et mon coeur Sa source est un fantôme Qui est apparu des années auparava…