La maison éclatait en fraîches voi… On causait ; on riait son rire de… Tandis qu’au bord des cieux rouges… Le soleil se couchait dans son gra… L’astre aux brûlants baisers allum…
Un tout petit enfant s’en allait à… On avait dit : Allez !... il tâch… Mais son livre était lourd, il ne… Il pleure et suit des yeux une abe… « Abeille, lui dit-il, voulez-vous…
Voici la mort dans son faste lourd… Un corps de plus qu’il faut englou… Et la coutume, avant d’en finir, Veut qu’on le traîne insensible et… Vers l’ouragan des notes funèbres
Ils sont fiers ceux-là !... comme… C’est à la don-juan qu’ils vous fo… Ils ne sentent pas bon, mais ils f… Valeureux vauriens, crétins cheval… Prenant sans demander – toujours s…
Écoutez bien : l’heure est sonnée… La dernière du dernier jour, Le dernier adieu d’une année Qui vient de s’enfuir sans retour… Encore une étoile pâlie ;
Qui peut empêcher l’hirondelle, Quand vient la saison des frimas, D’aller chercher à tire d’aile D’autres cieux et d’autres climats… Qui peut, lorsque l’heure est venu…
Pour boire j’aime un compagnon, J’aime une franche gaillardise, J’aime un broc de vin bourguignon, J’aime de l’or dans ma valise, J’aime un verre fait à Venise,
(Écrite à Bâville où était le P.… Que Bâville me semble aimable, Quand des magistrats le plus grand Permet que Bacchus à sa table Soit notre premier président !
C est des bulles et des mots . C est l art majeur et le causeur . C est un article sur la page d oct… C est le bruit des canons sur la p… C est la ruse d Ulysse, avec le c…
Le soleil des beaux jours s’en va… Le nuage se mouille ; La sève des buissons languit et re… Le jardin se dépouille ; Et voilà que l’année en son pâle c…
Douce Vierge Marie, humble mère d… Que tout le ciel contemple, Vous qui fûtes un lys debout dans… Sur les marches du temple ; Épouse agenouillée à qui l’ange pa…
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
Damœtas le poète et Methymne le s… Dans l’agreste douceur d’un calme… Où brille une eau courante, où pai… Assis près de la ruche, alternent… Methymne gravement dit l’essence d…
À mon ami Victor Hugo. Mon ami, vous voilà père d’un nouv… C’est un garçon encor : le Ciel v… Beau, frais, souriant d’aise à cet… À peine il a coûté quelque plainte…
L’eau terne enserre les dragues Dans un bassin de mercure Où nage, sombre teinture, La fumée aux gestes vagues. Régulière, la fumée
Tu dors content, Voltaire, et de… L’ironique reflet parmi nous est r… Le siècle t’a compris ; la jeuness… Toi, tu sommeilles, calme, et dans… L’édifice pesant que tu voulais dé…
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
II criait dans la ruelle à l’abri Je suis le mari de cette femme déb… Qui vous montrera son cœur et son… Regardez L’heure du départ avait depuis lon…
Ô Seigneur ! que fais-tu des voix… Et des pleurs à genoux ! La nuit silencieuse avec son aile… A passé devant nous. Hier, nous étions tous réunis, jeu…
Sous le marteau brutal tu tombes p… Avec indifférence un peuple destru… Te dépèce, ô vieux temple, ô maiso… Qui ne suffisais plus à l’orgueil… Lorsque d’une autre nef, plus bril…
Dites-moi, bords féconds de l’anti… Voisins des flots amers, Ce que va demander, si loin de sa… Tout ce peuple à vos mers ? L’Alsace, dès longtemps, vaillant…
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
La nuit, lorsque je dors et qu’un… Arrondit sur le monde une vaine be… Quand les hautes maisons obscures… Ont la paix des tombeaux d’où le s… Il n’est plus, morts dissous, d’in…
Oh ! redis-les encor ces paroles d… Rends-nous ces flots si purs qui s… Rends-nous l’écho lointain de ces… Que le chrétien ne doit entendre q… Hélas ! qui t’a si jeune enseigné…
Contrerime LXV. I. M. N. Plus souple à dénouer mes plis Que le serpent n’ondule, Ayant tous, ô Vénus Pendule,
Quand la marquise était avec le ro… Avant l’invention d’Esther par Ma… Afin que chez Vasti Sa Majesté r… Il fallait mieux qu’un prince et p… Il fallait, pour conduire Alcandr…
Pour M. le duc de Bellegarde, À madame la princesse de Conti. 1608. Dure contrainte de partir, À quoi je ne puis consentir,
Sous le ciel de Florence, alors q… Aux bleus décamérons les étoiles s… Et devant quelque Reine aimable d… Vêtus du long camail, les Poètes… Souvent, au fond du parc mystérieu…
La rose à voix de soprano joue la nuit du piano. Cela charme les monts et la plaine le Rhin, la
Hyménée, ô joie, hymen, hyménée ! La nuit de mon cœur s’est illuminé… Et ce fut d’abord, d’abord en mon… Des hymnes confus qui chantaient e… Ils chantaient la vie et l’amour d…