C est les Échos de la campagne . C est un article sur la gazette A… C est le bouillon du chef .. le b… Les amis de la plume .. le phacoc… L écrivain peut ressuscité les fan…
J’ai balayé tout le pays En une fière cavalcade ; Partout les gens se sont soumis, Ils viennent me chanter l’aubade. Ce cérémonial est fade ;
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
À son Altesse Sérénissime Monseig… le Prince de Conti Comme les Dieux sont bons, ils ve… Le soient aussi : c’est l’indulgen… Qui fait le plus beau de leurs dro…
C est le chapitre du monday . C est les mots passants sur le cla… C est le conflit armé dans le pays… Sous un orage de feu .. de boue e… Le tsar ne donneras jamais les ter…
Pourquoi vous asservir au ridicule… De ces mots sans pensée idiome moq… Qui, comme une beauté qui farde so… Eblouit un instant, et n’émeut pas… Laissez tout ce clinquant à de pet…
Le titan dormait dans la douceur d… Loin du froid glacial sibérien . Tu vois .. il était affalé sur le… Les abeilles des îles venaient de… Et s envolées vers d autres fleurs…
Quand l’impro nous entraîne, par d… Nous sommes alors en scène, face à… Offrir son univers, où est sa dest… Ma principale prouesse, c’est auss… Pourquoi je suis en Grèce, cueill…
Je suis celui des pourritures gran… Qui s’en revient du pays mou des m… Celui des Ouests noirs du sort Qui te montre, là-bas, comme une a… Son île immense, où des guirlandes…
Petit papillon doux Essaie de se nourrir Pauvre petit papillon Il n’a rien demander Juste un peu d’eaux
Fable XVIII, Livre II. Tandis que sa main droite achevait… Certain professeur en peinture Gourmandait sa main gauche, et dis… T’a fait là, pauvre peintre ! un a…
–N’aimes-tu pas ce temps de discrè… Aube faite de grâce et de sérénité… Où, rêvant qu’une bouche appuiera… Tu marches au hasard, distrait quo… Tu parles et tu ris, l’esprit cour…
C est le journal de Cantarelle . Écrire .. où tu peux écrire des mo… Dans la cellule des condamnés . À la naissance d un nouveau né . Au soleil couchant sur la mer roug…
Quand tu es près de mon champ de r… L’agitation se déroule dans tous m… Mon esprit se trouve être en plein… A travers mon corps en pleine déli… Quand je vois tes cheveux d’or et…
Amour profond Je te connais depuis longtemps mon… Et plus je te connais, plus mon co… Je ne te regarde plus comme avant, Ce n’est plus tes formes que j’ape…
C’est la rubrique de Sunday . C est un article sur le journal F… Le travailleur précaire .. celui… Pour aller bosser à quelques kilom… C est surtout les intermittents et…
1835. Seigneur ! vous êtes bien le Dieu… Que deviennent sans vous ces homme… Si d’un souffle divin vous animez… Ils montent jusqu’aux deux, en sai…
Je suis devin, mes chers amis ; L’avenir qui nous est promis Se découvre à mon art subtil. Ainsi soit– il ! Plus de poète adulateur ;
Ces nobles d’autrefois dont parlen… Ces preux à fronts de bœuf, à figu… Dont les corps charpentés d’osseme… Semblaient avoir au sol racine et… S’ils revenaient au monde, et qu’i…
(Épigramme.) Si ôter je te pouvois, Une fois, Ce que je t’ai su apprendre, Tu me viendrois caresser,
J adore sucer les hommes . Le plaisir, de sentir son membre m… Gonfler .. durcir par les caresses… Je passe ma langue sur le gland cr… Et je commence à pomper la bite .
Fable V, Livre II. Plus galant que sensé, Colin voul… Réunir dans son champ l’agréable à… Et cultiver les fleurs au milieu d… Rien n’était, à son gré, plus sage…
Voilà .. je suis bien vivant et… Je vieillis un peu .. je marche a… Ceci c est ma biographie . J adore super la queue et la bière… J écris des articles depuis des an…
Ô douce Poésie ! Couvre de quelques fleurs La triste fantaisie Qui fait couler mes pleurs ; Trompe mon âme tendre
Quatre animaux divers, le Chat gr… Triste-oiseau le Hibou, ronge-mai… Dame Belette au long corsage, Toutes gens d’esprit scélérat, Hantaient le tronc pourri d’un pin…
Tu vois .. nous deux sous la douc… La bite .. la chipo dans la bouch… Tu sens mes deux mains . Sur les petits seins . Ma grosse et belle merguez .
Cette vie nouvelle Qu’étais-je devenu en ce temps, Un homme rempli d’un mal sévissant… Enfermé par ma nature pécheresse, Causant à d’autres quelques triste…
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…