Mon compagnon de jeux me disait qu… « Viens aux abeilles, viens ! » E… Nous allions, curieux et troublés,… Je vois encore le bois de pins qui… J’entends ses longs rameaux bercés…
Une négresse par le démon secouée Veut goûter une enfant triste de f… Et criminels aussi sous leur robe… Cette goinfre s’apprête à de rusés… À son ventre compare heureuses deu…
Chaque seconde est un diamant, que… S agiter pour le combler, creuse l… Le stress est un aimant, ce vice q… Un océan de fierté, l’envol de l’i… Croise à nouveau le ciel, recherch…
Ô peuples ! Savez-vous (c’est l’op… Qu’au sein de vos cités râle une o… Minuit sonne, écoutez ! C’est l’h… Où des vieillards quinteux, couron… Vont d’un pas chancelant assouvir…
Un milan plumait un pigeon, Et lui disait : méchante bête, Je te connais, je sais l’aversion Qu’ont pour moi tes pareils : te v… Il est des dieux vengeurs. Hélas…
Les cloches dans leurs tours égrèn… Mélancolique, par l’air d’une nuit… Or j’ai bu le poison aux yeux de l… Et j’ai peine à ne pas crier sous… Ô lourd ciboire où le damné se dés…
Vous êtes brune et pourtant blonde… Vous êtes blonde et pourtant brune… Aurais-je l’air, aux yeux du monde… D’arriver tout droit de la lune ? Et cependant, on peut m’en croire,
Parfois de crépuscule pleine Avec la lune sur le cœur, J’ai l’âme flottante et sereine Du jour qui meurt. Je vis sans rêve, sans pensée,
Pour les Paladins de France, Assaillants dans un combat de barr… 1605. Et quoi donc ? la France féconde En incomparables guerriers,
Par l’esprit ou par la fortune J’aime à voir tout homme grandir ; Nulle gloire ne m’importune, Je ne suis pas las d’applaudir ; Je trouve même légitime
L’orage, après de longs repos, Ce soir-là, par ses deux suppôts, La nuée et le vent qui claque, Se présageait pour l’onde opaque. Grondante sous le ciel muet,
Nez moyen. Œil très-noir. Vingt a… Les cheveux bien plantés sur un fr… Nom simple et très joli, que je ne… Signe particulier : ta maîtresse,… Une grâce, charmante et tout à fai…
Palès fait gazouiller la flûte sou… Mélène sous sa lèvre anime le haut… Et chacun à son tour que la lutte… Module un chant qui monte au fond… Hermione aux longs yeux de longs c…
Nuit d’ombre, nuit tragique, ô nui… J’étouffe dans la chambre où mon â… Où je marche, depuis des heures, â… Sans pouvoir assourdir ni tromper… Et j’ouvre au large clair de lune…
Ô flots ! De votre voix profonde,… Bercez un vieil ami revenu de si l… Dans ce lit que mes mains ont creu… Donnez-moi, donnez-moi la paix don… Me reconnaissez-vous ? Le voyageu…
Une de plus Encore Encore un Un au revoir Un à bientôt
Tu sais l’amour et son ivresse Tu sais l’amour et ses combats ; Tu sais une voix qui t’adresse Ces mots d’ineffable tendresse Qui ne se disent que tout bas.
Les morts que l’on fait saigner da… Se vengent toujours. Ils ont leur manière, et plaignez… Sous leurs grands coups sourds. Mieux vaut n’avoir jamais connu la…
Auguste, mon très bon, qui toujour… Pour les yeux en amande, Sais-tu qu’hier matin j’ai beaucou… Et que je me demande Pourquoi décidément ce monde où no…
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide
L’objet est illustre Dans ce temps caduc. Le duc sonne un rustre, Le roi sonne un duc. Siècle étrange ! il taille,
Multipliant ses aptitudes On peut en faire des talents ; On creuse, on étend ses études ; On forme, on réforme ses plans ; Mais nul babil, nulle souplesse
Sonnet. On dit que Pasiphæ s’accoupla d’u… Dont naqui sur la terre un monstre… Pérrine, qu’as tu fait du monstre… Que jadis tu conçus de l’ouvrage d…
Ne sois pas étonné si la foule, ô… Dédaigne de gravir ton oeuvre jusq… La foule est comme l’eau qui fuit… Où le niveau n’est pas, elle ne vi… Donc, sans prendre à lui plaire un…
Nous n’irons plus au bois, les viv… Prud’homme déclarait immorale et c… Ma longue extase aux pieds d’une m… Dont la grâce tenait tous mes jour… Tu n’iras plus au Bois, sinon dan…
En gardant ses douze cochons Ainsi que leur mère qui grogne, Et du groin laboure, cogne, Derrière ses fils folichons, La sœurette, bonne d’enfant,
Ô grand charmeur du siècle et des… Pourquoi te reléguer dans ces pâle… Sous l’oblique faux jour de ces ét… Pour les morts d’autrefois classiq… Pourquoi donc t’exiler dans ce fro…
Aujourd’hui je me lève, tel un été… La haut je vois ciel, première foi… Virer mélancolie, démarrer sur pis… Fini les bottes de terre, c’est l’… Courons ensemble au loin, demain n…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
STANCES. 1586. Si des maux renaissants avec ma pa… N’ont pouvoir d’arrêter un esprit… Le temps est médecin d’heureuse ex…