Il est un Singe dans Paris À qui l’on avait donné femme : Singe en effet d’aucuns maris, Il la battait. La pauvre dame En a tant soupiré, qu’enfin elle n…
Fable I, Livre III. Toi qui, peintre et rival de Flor… Comme elle à la nature empruntes l… Dont se parent toutes les fleurs Que sous tes doigts on voit éclore…
Hier était la veille de mon départ le début du grand voyage l’instant si précis où mon père
Avant j’écrivais tout le temps Je n’aime pas partager mes sentime… Mais, dans un poème c’est plus att… Bizarre ? je m’assume, je suis trè… Le fait que j’ai connu l’amour tou…
Chaque bêtise nous pousse encore,… Nous n’avons pas d’remboursement,… Qu’on le refrai et qu’on fuirait,… Car on n’est pas tous des brigands… Nous on le vole que pour l’brûler,…
Ma sœur, écoute-moi ! je vais t’ou… Mais détourne un instant ton regar… Pour mes quinze printemps, ne sois… Tu promis de m’aimer à notre vieil… Un ange aux blonds cheveux déjà te…
Entre quinze et vingt ans, le cœur… De sa torpeur première et qui comm… S’enflamme quelquefois tout de bon… Dans un profond secret, d’un amour… Honteux de laisser voir cette arde…
« Insensée, à ces cœurs fardés d’h… Qui profanent l’amour, que l’amour… Tu demandais en vain Cette source du ciel où l’on se dé… Ils avaient mélangé les fanges de…
Ta sagesse, grand Dieu, dans tes… Débrouilla le chaos ; Et fixant sur son poids la terre b… La sépara des flots. Par-là, son sein fécond, de fleurs…
Sois ton bourreau toi-même ; N’abandonne le soin de te martyris… A personne, jamais. Donne ton seu… Au désespoir ; déchaîne en toi l’â… Force ton âme, éreinte-la contre l…
Il était une tour, avec porte. L’… Laissait voir, dans la mousse, un… La tour était massive, et la main… Taillé dans un seul bloc, dut pose… L’écu verdi semblait de quelque ré…
Au temps où longuement j’avais sou… Où les heures m’étaient des pièges… Tu m’apparus l’accueillante lumièr… Qui luit aux fenêtres, l’hiver, Au fond des soirs, sur de la neige…
Sonnet. L’on verra s’arrêter le mobile du… Les étoiles marcher parmi le firma… Saturne infortuné luire bénignemen… Jupiter commander dedans le creux…
Les lumières bleues de l’ambulance… Et les bruits de pas se balancent Dans cet enfer Qu’a fait apparaître le cancer. Les battements de mon cœur
Quand j’admire tes nobles cheveux… Et que là je m’éprends de ta perfe… Mon cœur soumis est en pleine détr… Tant il se consume de passion. Un raz de marée s’y déroule,
Prendre une bouffée d’air frais, v… Regarder le soleil, en soi l’éveil… Une ogive nucléaire, coincé dans l… Fin de journée à terre, en soi une… Celle de notre être chère, éclaton…
L’Aurore brillante et vermeille Prépare le chemin au soleil qui la… Tout rit aux premiers traits du jo… Retirez-vous, démons, qui volez da… Fuyez, songes, troupe menteuse,
Allons, amis ! voici l’aurore, Voici l’aurore à nos vitraux ! Sous le brouillard qui s’évapore On aperçoit les grands troupeaux ; Debout !—car la vache qui brame
Emmène-moi sur ces collines Bercées par une brise essoufflée Où le soleil en vagues fines Lèche les flancs d’un voile éthéré… Sur le chemin nous croiserons
Mon petit grand-père, Comment ça va ? Ma petite grand-mère, Es-ce-que tu es là ? Je n’ai pas grand-chose
C’est Marivône Le Guînver, Avec ses coiffes de batiste, C’est Marivône Le Guînver Qui passe sa vie à rêver. Marivônic, Dieu vous assiste
Hélas ! tu n’es plus une paysanne… Le mal des cités a pâli ton front, Mais tu peux aller de Paimpol à V… Les gens du pays te reconnaîtront. Car ton corps n’a point de grâces…
C est le chapitre de Corporamus… C est un article sur les hommes mu… Le plaisir de branler le manche d… Le désir de la bite en érection . La sodomie .. la pénétration anal…
C est le texte d Urbanos . Le récit d aujourd’hui .. Le 20… Les derniers vainqueurs . Argentine en 2022 . France en 2018 .
Qu’il sent bien son terroir, ce ca… Toute l’Espagne est là, chaude, p… Hommes en bas de soie, en magnifiq… Ainsi qu’en montre encore la cours… Yeux noirs, visages durs au teint…
FRAGMENTS D’UNE ODE AU ROI HENRI… 1596. Soit que, de tes lauriers la grand… D’un cœur où l’ire juste et la glo…
Pardonnez-moi, Seigneur, mon visa… Vous qui l’aviez formé de sourire… Mais sous le front joyeux vous avi… Et de vos dons, Seigneur, ce don… C’est le mois envié, c’est le meil…
Tu es là Quand le peuple de Dieu se rassem… Que les coeurs s’ouvrent devant ce… Et quand nos âmes s’élèvent ensemb… Mon Dieu tu es là, tous les jours…
Fable XIV, Livre III. Le zèbre débarque en Europe ; Les ânes d’admirer, et les savants… « Le beau cheval que celui-ci ! » Disent nos connaisseurs qu’éblouit…
Emporte moi jusqu’au noir Dont toute lumière s’échappe Jusqu’à tes pupilles funestes Nid de ma rancune Je m’endors sous l’ombre