La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide
En ces temps où le corps éclôt pou… Où des races le sang fatigué dégén… Tu nous épargneras, Suzanne, enfa… De voir en toi la fleur du genre h… Deux artistes puissants sont jalou…
Viens je t’emmène Mon amie vient avec moi, errer dan… Contempler ce qui se trame sous ce… Admirer le devenir de notre planèt… Aux mains de l’homme, il en a fait…
Fable XV, Livre I. Pauvre Turc ! qu’il est bon ! le… S’écriait un enfant en promenant s… Sur un dogue enchaîné qui, dit-on,… Impunément le laissait faire.
J adore sucer les hommes . Le plaisir, de sentir son membre m… Gonfler .. durcir par les caresses… Je passe ma langue sur le gland cr… Et je commence à pomper la bite .
Triste tournant Te rappelles-tu mon amie, te rappe… En ces temps où l’on ne se quittai… Nous voguions dans un beau rêve, Nous espérions que jamais il ne s’…
Les étoiles qui sortent du foyer sont plus rouges. La tête s’incline assez près du tuyau qui a l’air d’être son cou et ceux qui sont derrière regardent dans la glace. L’air tiède à la v...
Sonnet. Le cœur n’est pas fragile, il est… Plût au dieux que, pareil à l’amph… Il ne servît qu’un temps et fût po… Mais il ne s’use point, ô douleur…
Sur les monts vaporeux la nuit jet… Mon œil suit lentement sa marche d… Et je vois s’avancer, resplendissa… Son char silencieux. Le vent du soir émeut les feuilles…
Au temps où les plaines sont verte… Où le ciel dore les chemins, Où la grâce des fleurs ouvertes Tente les lèvres et les mains, Au mois de mai, sur sa fenêtre,
Du méchant et de sa malice, Des sots, de l’astuce et du vice Faire justice plaît au cœur ; Mais laissons à Dieu cet office : Pour nous il est beaucoup meilleur…
Je ne sais pas si je préférais la braise de ses tempes ou les flammes de sa tignasse qui brûlaient tout en montant en haut de sa tête de Méduse masculine purement enchantée. Les chenets...
le bilan de la journée est pauvre… Je me vois tous les jours devenue… Et faisant quelque chose qui m’éca… Parfois juste je rêve que je suis… Ou que je suis un arbre qui pousse…
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
À Degas. Les cheveux plantureux et blonds,… Se redressent altiers : deux touff… Se collent sur le front en moqueus… Aigues-marines, dans le transparen…
C est les Dates Historiques . 1953 .. naissance dans le Poitou… 1963 .. déménager en Touraine . 1973 .. Veigné Carrelage . 1983 .. mariage à Nice .
Nos yeux se sont croisés, mon coeu… Mes mains t’ont effleuré, chaque s… Un instant de satin, que mon espri… Traîna jusqu’au matin, déployant m… Quelle abomination, que manipulati…
Se souvenir des rêves, devenir imm… La beauté de la pluie, apprécier c… Nous ne sommes que des hommes, nou… toutes celles qui nous entourent,… Nous n’voulons être heureux, seule…
STANCES. 1586. Si des maux renaissants avec ma pa… N’ont pouvoir d’arrêter un esprit… Le temps est médecin d’heureuse ex…
Monts bien-aimés, rives pour moi s… Comment chanter lors d’un adieu to… Lorsque l’oiseau va quitter nos co… Pour le retour il réserve son chan… Longtemps muet, s’il nous revient…
Et puis arrive la douceur d’un dim… Alors que nos âmes s’éveillent dou… J’effleure ton corps J’effleure ton visage J’effleure tes lèvres
1835. Seigneur ! vous êtes bien le Dieu… Que deviennent sans vous ces homme… Si d’un souffle divin vous animez… Ils montent jusqu’aux deux, en sai…
C est la poésie d agonie . La plume du vingt trois .. Janvi… L homme s est attaqué à un peuple… Le type seras jugé devant l Allia… Pour crimes de guerre et de l hum…
Sonnet. La robe de laine a des tons d’ivoi… Encadrant le buste, et puis, les g… Ornent le teint clair et les ligne… Le rire à qui tout sceptique doit…
Nous sommes partis ce matin, Sans savoir où, pédétentin, Au diable ! J’en étais moi-même effaré, Tant la route avait un air e–
La chapelle de l’abbaye Avait été toute envahie D’un flot d’oisifs & de flâneurs ; Et sur le marbre blanc des dalles, Deux moins, traînant leurs sandale…
Au milieu de la terre, île où tour… Tel mon coeur au centre, de chaque… Il est jugé et parti, de toutes tr… Il rempli tous les gouffres, creus… Ce manque bâtit ma tombe, d’où sor…
Sa main tendue est une coquille où… Et l’eau sous la gouttière fait un bruit de métal Derrière le rideau une figure roug… Dans l’air blanc matinal
Miroir ou mirage Je ne sais pas qui tu es J’ai écrit mille poèmes Dans le vide dans le vent Miroir ou mirage
Le premier qui vit un Chameau S’enfuit à cet objet nouveau ; Le second approcha ; le troisième… Un licou pour le Dromadaire. L’accoutumance ainsi nous rend tou…