Aux vapeurs du matin, sous les fau… Que le vent automnal emplit de lon… Les rivaux, les deux cerfs luttent… Depuis l’heure du soir où leur fur… Les entraîna tous deux vers la bic…
Je suis pédéraste dans l’âme, Je le dis tout haut et debout. Assis, je changerais de gamme, Et, couché sur un lit, Madame, Je ne le dirais plus du tout.
(Vers pour mettre en bas du portra… Ce greffier doux et pacifique De ses enfants au sang critique N’eut point le talent redouté : Mais, fameux par sa probité,
Fable XIV, Livre III. Le zèbre débarque en Europe ; Les ânes d’admirer, et les savants… « Le beau cheval que celui-ci ! » Disent nos connaisseurs qu’éblouit…
Un Vieillard sur son Ane aperçut… Un Pré plein d’herbe et fleurissa… Il y lâche sa bête, et le Grison… Au travers de l’herbe menue, Se vautrant, grattant, et frottant…
Pourquoi se retrouver, sans même s… A quoi bon espérer, je veux te mér… O toi mon ingénu, tu remplis toute… Rien qu’avec ton sourire, je suis… Tous les masques du monde, chaque…
C est l article Insails . C est le carnet de bord .. les in… S y tu refuse d être manipulé . Tu risque d’être rejeté de la comm… Dieu est là, et tu le voit pas .
Vous souvient-il, cocodette un peu… Qui gobergez vos flemmes de bourge… Du temps joli quand, gamine un peu… Tu m’écoutais, blanc-bec fou qui d… Gardâtes-vous fidèle la mémoire,
Je suis comme cette plante, Quand j’ai assez d’eau et de solei… Je bourgeonne, je grandi, et j’écl… Je m’accroche, quand le vent et le… Je bois l’eau de la pluie quand el…
—Toi qui t’en vas là-bas, Par toutes les routes de la terre, Homme tenace et solitaire, Vers où vas-tu, toi qui t’en vas ? —J’aime le vent, l’air et l’espace…
D’avoir creusé ces failles invisi… J’ai retrouvé le plus grand canyon… Entre ma gorge et mon coeur Sa source est un fantôme Qui est apparu des années auparava…
LA MÈRE. Canari, Doux chéri, Chante un peu moins fort, Sur ta gaîté fais quelque effort.
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
Salut et joie à ceux d’ici ! Congédiez votre souci, Maîtres, serviteurs et servantes. Femmes, c’est assez de travaux ; Pendez au mur les écheveaux
C est la chronique de Monday . C est la rubrique sur le journal… L immigration .. des gens venus d… Qui viennent sur le sol français… C est des photos et des propos ple…
Mes chers amis je pars, cette nuit… Pour continuer à boire, j’habitrai… Afin de voir l’espoir, je vivrai p… La tête dans l espace, à m’injecte… Les fourmis en fanfare, à danser l…
L’horloge a tinté quatre fois. Qu’est-ce donc, ces folles risées… Comme un cygne aux ailes rosées, L’aurore glisse au ras des bois. Ce sont les filles de Pont-Croix
Je marchais j’écris des flaques des branches imparfait présent pressant où les moteurs grondent
À vous qui savez être belles, Favorites du dieu d’amour ; À vous, maîtresses infidèles, Qu’on cherche et qu’on fuit tour à… Salut, tendre hommage, heureux jou…
C est le chapitre de Sylvanus . Le poète au terme d un parcours .… Jalonné de zones d ombres et de lu… C est le tigre du printemps . Tu vois .. il as plusieurs amants…
C’est un autre orage sans toi Mon esprit se décline en nuances d… gris comme le ciel, comme les toit… vert comme les plantes en ont le f… bleu comme mes yeux et comme certa…
Dans l’essaim nébuleux des constel… Ô toi qui naquis la première, Ô nourrice des fleurs et des fruit… Blanche mère des visions, Tu nous viens du soleil à travers…
L artiste .. qui apprends les tex… Des dialogues pour quelques rôles… Des mots à réciter .. la mémoire… C est le jeu des comédiens . Le problème du vieux théâtre du be…
Ensemble de vestige, ensemble une… Chaque cycle est une musique, une… L’unité est caché, dans la fratern… La solidarité, n’est pas très haut… Un peu désordonné, mais pas trop d…
Il est un Singe dans Paris À qui l’on avait donné femme : Singe en effet d’aucuns maris, Il la battait. La pauvre dame En a tant soupiré, qu’enfin elle n…
A quoi donc rêves-tu, ma gentille… Nonchalamment couchée à l’ombre de… Quel est le grand objet qui t’occu… Tu lis la plus belle œuvre et la p… Un nid plein d’œufs mignons ! La…
Il gît au fond de quelque armoire, Ce vieil alphabet tout jauni, Ma première leçon d’histoire, Mon premier pas vers l’infini. Toute la genèse y figure ;
Bel arbre, je viens effacer Ces noms gravés sur ton écorce, Qui par un amoureux divorce Se reprennent pour se laisser. Ne parle plus d’Éléonore ;