Ces âmes que tu rappelles, Mon coeur, ne reviennent pas. Pourquoi donc s’obstinent-elles, Hélas ! à rester là-bas ? Dans les sphères éclatantes,
Pour boire j’aime un compagnon, J’aime une franche gaillardise, J’aime un broc de vin bourguignon, J’aime de l’or dans ma valise, J’aime un verre fait à Venise,
Le Temps ne surprend pas le sage, Mais du Temps le sage se rit, Car lui seul en connaît l’usage : Des plaisirs que Dieu nous offrit Il sait embellir l’existence,
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube t… Bonjour en deux baisers, et le pau… Pépia, puis remit sa tête sous son… Et tut pour le moment sa gente rit… Ici je te rendis pour les tiens un…
Je m’appuierai si bien et si fort… D’une si rude étreinte et d’un tel… Qu’avant que la douceur du jour me… Elle s’échauffera de mon enlacemen… La mer, abondamment sur le monde é…
J’avais un coeur il y a longtemps. Mais je suis tombé amoureux et mon coeur est tombé en panne. Maintenant je marche sur le bord des ciseaux. Ma sang rafraîchit mes pieds et j’attends l...
En yver, du feu, du feu ! Et en esté, boire, boire ! C’est de quoy on fait memoire, Quant on vient en aucun lieu. Ce n’est ne bourde, ne jeu,
Le bord de ma fenêtre le bord de route cabossée d’éclats de grondements motorisés métalliques Le bord de mon lit
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
« Ô vents, disaient les flots, qua… Dormir à notre gré d’un sommeil la… Trêve à la fin, trêve d’orages ! Laissez-nous refléter dans notre c… Les matins rayonnants, les nuits b…
Brisez-leur pattes et vertèbres, Chassez les rats, les rats. Et puis versez du froment noir, Le soir, Dans les ténèbres.
Virage Il lui suffit d’un drift, pour lea… Qui n’aiment rien de droit, aucune… L adaptation est joie, aucun ne se… L’idée est toujours chercher, à êt…
Mon doux Georges, viens voir une… Quelconque, chez Buffon, au cirqu… Sans sortir de Lutèce allons en A… Et sans quitter Paris partons pou… Viens voir les léopards de Tyr, l…
Oui, voici bien les lieux que fréq… C’est ici tendrement que résonnait… C’est là, c’est sur ce banc que je… Pour la dernière fois. Pourtant, rien n’a changé ; l’onde…
Poètes, peintres parlants, que vou… Peintres, poètes muets, que vous s… Des feux, des fouets, des fers, de… Des rages, des fureurs, des lieux… Pour exprimer l’horreur des enfers…
Des flaques de fiel qui jaillissent dans mon cœur. J’ai changé de peau pour que tu puisses dormir. J’ai changé d’amis
Sonnet XXXVI. Depuis que j’ai laissé mon naturel… Pour venir où le Tibre aux flots… Le ciel a vu trois fois par son ob… Recommencer son cours la grand lam…
Je veille, et nuit et jour mon fro… Ma joue en pleurs ruisselle, Depuis qu’Albaydé dans la tombe a… Ses beaux yeux de gazelle. Car elle avait quinze ans, un sour…
Vers Saint-Denis c’est bête et sa… C’est pourtant là qu’un jour j’emm… Nous étions de mauvaise humeur et… Un plat soleil d’été tartinait ses… Sur la plaine séchée ainsi qu’une…
Solitude ! silence ! oh ! le déser… L’âme s’apaise là, sévèrement cont… Là d’on ne sait quelle ombre on se… Je vais dans les forêts chercher l… La sauvage épaisseur des branches…
Au vent joyeux de la bonne nouvell… L’étable s’ouvre ; et sa merveille… Que les naïfs bergers en sont trou… Illuminant la crèche sombre encore… L’Enfant paraît en un orbe d’auro…
Justice est le ciment des Etats m… L’arc-boutant de la paix, le bras… Fille aînée de Dieu, trésorière d… La base de l’Etat, l’âme des répu… Sans qui le souffle ardent des esp…
Nos coteaux, les plus purs de tous… Que, n’eût été la Grèce, auraient… Au bas de leurs sentiers poudrés d… Ont comme une hydre énorme éparse… La Ville nous fascine, étant moin…
Asseyons-nous tous deux près du ch… Sur le vieux banc rongé de moisiss… Et que je laisse, entre tes deux m… Longtemps s’abandonner ma main. Avec ma main qui longtemps s’aband…
Amis, mes deux amis, mon peintre,… Vous me manquez toujours, et mon â… Vous redemande ici. Des deux amis, si chers à ma lyre… Pas un ne m’est resté. Je t’en ve…
Chaque heure, où je songe à ta bon… Si simplement profonde, Je me confonds en prières vers toi… Je suis venu si tard Vers la douceur de ton regard,
Je m’adresse à tout l’Univers, Après David, le roi psalmiste. Oui, Madame, en ces quelques vers… Je m’adresse à tout l’Univers. Sur les continents et les mers,
Je connais, Madame, un bonhomme Qui serait bien mal à la Cour. Je ne sais comment il se nomme, Sa femme n’est pas laide, en somme… Non..., elle est très digne d’amou…
Écoute. Quelqu’un chante ou soupir… Un lied dont on ne sait s’il est t… Te dénonce l’éveil de l’homme inté… Ecoute, et que ta plume attentive… A recueillir l’écho de cette voix…
Il te ressemble ; il est terrible… Il est sous l’infini le niveau mag… Il a le mouvement, il a l’immensit… Apaisé d’un rayon et d’un souffle… Tantôt c’est l’harmonie et tantôt…