Ô Georges, tu seras un homme.—Tu… A qui tu dois ton coeur, à qui tu… Ce que ta voix doit dire au peuple… Et je t’écouterai dans ma tombe pr… Songe que je suis là ; songe que j…
J’irai bien sur la lune, juste pou… Je gagnerai des tunes, pour les je… Mille séances de muscu, en régime… Servi sur mes légumes, quelques co… Met moi tout dans le cul, pas sa p…
Comme elle était si jeune et qu’el… Comme elle avait la peau si blanch… Je me laissai mener, docile, par l… D’engourdir ma rancœur sur sa poit… Son regard où dormait la volupté p…
Entrez dans les palais grands ouve… Un jour limpide y luit, l’heure pa… Le pied rit au miroir des parquets… Et loin, dans le plafonds aussi ha… Bleu séjour de la muse et du Dieu…
Ô lâches, la voilà ! Dégorgez dans… Le soleil essuya de ses poumons ar… Les boulevards qu’un soir comblère… Voilà la Cité sainte, assise à l’… Allez ! on préviendra les reflux d…
Ai-je dormi ? Quel songe horrible… Oh ! Ces spectres, ces morts, un… Surgis par millions du sol ensangl… Et qui dardaient, dans une ardente… Leurs prunelles farouches !
Deux déités, qui de leur main féco… Versent la paix et le bonheur au m… Servant dans ses desseins le dieu… Joignent d’un double nœud tous les… C’est toi, divine Bienfaisance !
Sans doute elles vivaient, ces gra… Qu’une aveugle machine a sans piti… Ne souffraient-elles pas lorsque l… À déchiré leur chair du matin jusq… Et lorsque de leur sein, meurtri d…
Dans tous mes rêves c’était vous ! Vous étiez belle, Et je tombais à vos genoux : Ou si, rebelle, Quand vous me donniez un doux nom,
Sonnet. Qu’est-ce tranchant de fer souple,… Ce ne sont pas les flancs de la te… Ni les pierres qu’il fend, ni les… Quel art a-t-il servi, quel fléau…
L’automne fait gronder ses grandes… Et célèbre le deuil des soleils ré… L’avare automne entasse aux rebord… Les vols de feuilles d’or que flag… Stérile et glacial reliquaire où s…
–N’aimes-tu pas ce temps de discrè… Aube faite de grâce et de sérénité… Où, rêvant qu’une bouche appuiera… Tu marches au hasard, distrait quo… Tu parles et tu ris, l’esprit cour…
STANCES. Composées en Bourgogne. 1609. Complices de ma servitude, Pensers, où mon inquiétude
Quelle tranquille bienveillance Près de ces eaux remuées Où le soleil se balance En traversant la feuillée. Seul le rêve voit nos danses
¡ Oh ! votre oeil est timide et vo… Mais quoique, par pudeur ou par pi… Vous teniez secrète votre âme, Quand du souffle d’en haut votre c… Votre coeur, comme un feu sous la…
Sonnet. Le dieu du laboureur est comme un… De chair et d’os, seigneur du cham… Le dieu de son curé règne aussi, m… Trois fois unique, esprit, fils et…
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
Dieu, c’est la beauté, Dieu, beau… Dans le buisson de flamme à son pe… Aux lèvres de Moïse, aux lèvres d… Et ses discours profonds sont clai… Son livre est un chœur vaste où D…
Couple heureux et brillant, vous q… Dès longtemps comme un hôte à vos… Qui m’avez laissé voir, en votre d… Triomphante, et d’éclat partout en… Le cours intérieur de vos félicité…
Rien n’est plus beau que le vrai. Dangereux ennemi de tout mauvais f… Seignelay, c’est en vain qu’un rid… Prêt à porter ton nom de l’Èbre ju… Croit te prendre aux filets d’une…
Brune à la taille svelte, aux gran… À la lèvre rieuse, aux gestes sémi… Blonde aux yeux bleus rêveurs, à l… La jeune fille plaît : ou réservée… Mélancolique ou gaie, il n’importe…
Ensemble de vestige, ensemble une… Chaque cycle est une musique, une… L’unité est caché, dans la fratern… La solidarité, n’est pas très haut… Un peu désordonné, mais pas trop d…
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
Décor d’encre. Sur le ciel terne Court un fil de fer : Mansarde où l’on aima, vanterne Sans carreaux, où l’on a souffert. Une enfant fait le pied de grue
Hanté de souvenirs, l’âme pleine d… Je viens à ta beauté, seul, en pèl… Pays qui me fus bon. De gradin en gradin, de pensée en… J’ai gravi le sommet de l’arête dr…
Écoute. Quelqu’un chante ou soupir… Un lied dont on ne sait s’il est t… Te dénonce l’éveil de l’homme inté… Ecoute, et que ta plume attentive… A recueillir l’écho de cette voix…
Je veux vivre seul avec toi Les jours de la vie âpre et douce, Dans l’assurance de la Foi, Jusqu’à la suprême secousse. Je me suis fait une raison
Te souviens-tu de ce matin d’hiver… De la dernière et chère promenade… Il faisait beau, le soleil était c… C’était un temps d’heureux ou de m… C’était aussi notre pays charmant,
La vie est le chemin de la mort.… N’est d’abord qu’un sentier fuyant… Où la mère conduit son enfant par… En priant la Vierge Marie. Aux abords du vallon, le sentier d…