Que la nuit m’enveloppe et dorlote… De toute sa bonté, de toute sa dou… Que les flocons légers de la neige… S’enroulent comme au noir rouet la… La chambre est une tendre aïeule q…
Quand la mer me prend le cœur Un jour d’automne à Honfleur Je suis celui qui disparaît Comme un crabe qui s’cache sous le… La mer qui perturbe nos habitudes
En été dans ta chambre claire, Vers le temps des premiers aveux, (Ce jeu-là paraissait Te plaire) On ouvrait parfois Baudelaire, Avec ton épingle à cheveux,
Oh ! la terrible nuit pour les pet… Un vent glacé frissonne et court p… Eux, n’ayant plus l’asile ombragé… Ne peuvent pas dormir sur leurs pa… Dans les grands arbres nus que cou…
Sur les gazons verts, le soir nous… Au clair de la lune, au bruit des… Tout brûlant d’amour, le Ciel dit… Je ne puis descendre et baiser tes… Ni dans tes beaux yeux, par le soi…
Avant que mon adieu salue avec tri… Paris, ce beau Paris qui fut l’hu… Et que j’aille revoir les fortunés… Où Marseille au rivage aligne tan… Laisse-moi rafraîchir, ami, dans t…
Chez mes pays, qui sont rustiques Dans tel cas simplement pieux, Voire un peu superstitieux, Entre autres pratiques antiques, Sur la tête du paysan,
Épigramme. N’en déplaise à Ronsard, les této… À des boules ne sont comparés just… Car la boule ne sert que d’abattre… Mais un beau sein les fait redress…
Comme un fond d’outremer de vieux… L’azur uni des flots encadre son v… Et parmi l’âpreté du rude paysage L’enfant épanouit son corps frêle… Le regard plein de vie, ouvert naï…
Je cherche à relater, tout ce que… Cela sans recracher, tout mon égoc… Le temple d’Artémis, couvercle de… Profite de la nature, chasse les m… Balade dans la rue, boulevard du p…
Parfois dans mon miroir où larde l… Je m’apparais songeant sur un fond… La fenêtre d’en face y fait danser… Son feuillage d’été que la brise c… Une bruine d’or s’effrite sur mes…
Muse au beau front, muse sereine, Plus de satire, j’y consens. N’offensons pas avec ma haine Le calme éther d’où tu descends. Je chante en ces vers caressants
Au fond de toi se trouve une maiso… Un endroit au silence apaisant Rempli de douceur et de saisons Au fond de toi se trouve un foyer Un jardin au calme reposant
Toute cette nuit nous avons Relu le vieil ami Shakspere Aux beaux endroits que nous savons… Et voici que la nuit expire. Nous avons longtemps veillé, mais
Tu t’arrêtes, tu la regardes, tu essaies d’attirer son attention, tu essaies de lui montrer que tu l’aimes, mais elle, elle continue sa marche dans le Ciel, ne daignant même pas te jete...
N’aimez plus tant, Phylis, à vous… Le plus ardent amour n’a pas grand… Les nœuds les plus serrés sont le… A force d’aimer trop, souvent on n… Et ces liens si forts ont des lois…
Je crains que tu découvres mon plu… Un jour, mais que les choses tourn… D’une manière ou d’une autre, dest… En m’annonçant là tes plus immense… Oui, tu regrettes de devoir nous r…
Ô noir Chillon ! quand sur ta rive Descend l’ombre fraîche des nuits… Lorsqu’à tes pieds la vague arrive Avec de mystérieux bruits ; Quand la lune, pâle et rêveuse,
L’Automne Dans les bois où loge les grands c… Se répand ici-bas une curieuse atm… Aujourd’hui je remarque une nature… Qui semble se ternir dans une fati…
J’aime à changer de cieux, de clim… Oiseau d’une saison, je fuis avec… Et mon vol inconstant va du rivage… Au rivage enchanté. Mais qu’à jamais le vent bien loin…
Je suis allé chez le le bottier, Je lui ai dis de faire des chaussu… J’ai mis mes nouvelles chaussures, Mes pieds étaient trop grands, Cela a fait des trous dans mes nou…
Ma foi, vous avez bien raison, Vous pour qui tout est floraison Et violettes Parfumant les pieds de vos lys, De ne pas célébrer Phyllis