Entre les plis de votre robe close On entrevoit le contour d’un sein… Des bras hardis, un beau corps pot… Suave, et dans la neige modelé, Mais dont, hélas ! un avare dispos…
Ah ! si jamais on aima sur la terr… Si d’un mortel on vit les dieux ja… C’est dans le temps où, crédule et… J’étais heureux, et l’étais avec v… Ce doux lien n’avait point de modè…
Qui je suis Toi mon amie tu me connais depuis… Mais au fond, tu ne me connais pas… Tu m’a toujours trouvé une âme épa… Qui demeurait heureuse et qui sour…
Dixain. J’ai du goût pour la flâne, et j’a… Les réclames des murs fardés de co… La Redingote Grise, et Monsieur… L’Hérissé qui rayonne au-dessous…
Un pauvre petit grillon Caché dans l’herbe fleurie Regardait un papillon Voltigeant dans la prairie. L’insecte ailé brillait des plus v…
Aujourd’hui je me lève, tel un été… La haut je vois ciel, première foi… Virer mélancolie, démarrer sur pis… Fini les bottes de terre, c’est l’… Courons ensemble au loin, demain n…
l’eau ruisselle entre les rainures… elle suinte des murs et des fenêtr… entre les moisissures humides Ma maison se délabre, je suis rassurée
Incurable gorgone et jeune jouvenc… Ici vielle matrone, envieuse blair… attendant sous la lune encombrée p… tout de l’un, rien de l’une, en pe… Déesse et si mystique en grisante…
Un rimeur de couplets comiques, De la folle et vive chanson Aux oreilles académiques A fait la funèbre oraison. Ingrat, à peine à son aurore,
Cruel dédain Pendant que certains rient, D’autres pleurent leur triste vie, Misérables sans un seul espoir, Sur cette terre perdus dans le noi…
La Beauté, fatal aimant, Est pareille au diamant Que la fange peut mouiller Sans le souiller. Jusqu’au milieu du ruisseau,
Ma vie, je la vis maintenant Parce que hier ne sera qu’un souve… Les larmes d’hier ne seront que tr… Les joies d’aujourd’hui ne seront… Je m’accroche à l’idée que cette f…
Je lis et cite tour à tour Ce recueil qui jamais ne lasse, Ces vers écrits par une Grâce Avec les plumes de l’Amour. De vos amis, moi qui vous aime,
Qui veut rester fier et debout Offense les âmes serviles ; Il faut s’abaisser jusqu’au bout Pour réussir aux œuvres viles. J’admirais fort l’habileté ;
Une randonnée de sable, la sueur s… Je ne suis un être normal, qu’un p… Ces dunes de marécages, rigole de… A moi ces paysages, si peu origina… Je les juge comme ma femme, à trav…
Au revoir, Comme il est étrange de saluer son… De changer sans comprendre pourquo… On pense enfin réussir à voir. Comme il est étrange de tomber si…
Vision des oubliés, tous partis po… Qu ils y retrouvent l ennui, un te… Balbutiant aux portiques, accueill… Oublions ces repas, plein de fêtar… Redonne lui sa jupe, nous ne seron…
Quelque chose que je dis D’amour, non de son pouvoir. Toutefois, pour dire voir, J’ai une Dame choisie, La mieux en bien accomplie
(Épigramme.) Si ôter je te pouvois, Une fois, Ce que je t’ai su apprendre, Tu me viendrois caresser,
Dixain. Muses, souvenez-vous du guerrier,—… Qui ne fut général ni polytechnici… Mais qui charma DIX ans les mâne… Cet invalide était la gaîté de son…
Ami, partez sans émoi ; l’Amour v… Pour faire fête à votre belle hôte… Vous dites donc qu’on aura cette n… Souper au vin du Rhin, grande lie… Et cotillon chez une poétesse.