Quand le ciel couleur d’une joue Laisse enfin les yeux le chérir Et qu’au point doré de périr Dans les roses le temps se joue, Devant le muet de plaisir
Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n’est plus Que me voulez-vous oiseaux Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n’es plus je ne sais…
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
Le plaisir à chaque gorgée . J adore sucer le gland crémeux . Le jus du mâle .. le lait des hom… J ai la gorge profonde pour les am… Le plaisir de branler la bite d am…
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
Rubens, fleuve d’oubli, jardin de… Oreiller de chair fraîche où l’on… Mais où la vie afflue et s’agite s… Comme l’air dans le ciel et la mer… Léonard de Vinci, miroir profond…
Plainte d’un chrétien sur les cont… Qu’il éprouve au dedans de lui-mêm… (Tiré de Saint Paul aux Romains,… Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi :
Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…
Si je regarde tout à coup n’a véri… subir cette parole intérieure sans… éphémères ; et cette infinité d’en… facilité, qui se transforment l’un… elles. Incohérente sans le paraîtr…
L’amour nous fait trembler comme u… Car chacun de nous deux a peur du… « Mon bien-aimé, dis-tu très bas,… Laisse... Ferme les yeux... Ne pa… Je te devine proche au feu de ton…
Le soleil gît sur le sol Litre de vin rouge brisé Une maison comme un ivrogne Sur le pavé s’est écroulée Et sous son porche encore debout
Lorsque avec un bon sourire dans le métropolitain poliment vous nous demandiez deux points ouvrez les guillemets vous les avez laissés glisser dans la boue tricolore En arrière grand-pè...
Ni vu ni connu Je suis le parfum Vivant et défunt Dans le vent venu ! Ni vu ni connu
Enfin, voici la pluie & les brumes… Le temps est presque froid. Le so… Depuis hier au soir nous a fait se… Le ciel, d’un bout à l’autre, est… Sous les arbres feuillus l’ombre s…
Il dit non avec la tête mais il dit oui avec le cœur il dit oui à ce qu’il aime il dit non au professeur il est debout
Avec ses vêtements ondoyants et na… Même quand elle marche on croirait… Comme ces longs serpents que les j… Au bout de leurs bâtons agitent en… Comme le sable morne et l’azur des…
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
« Vous je ne vous regarde pas ma vie non plus ne vous regarde pa… J’aime ce que j’aime et cela seul me regarde
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
L’un t’éclaire avec son ardeur, L’autre en toi met son deuil, Nat… Ce qui dit à l’un : Sépulture ! Dit à l’autre : Vie et splendeur… Hermès inconnu qui m’assistes
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
J’aime le souvenir de ces époques… Dont Phoebus se plaisait à dorer… Alors l’homme et la femme en leur… Jouissaient sans mensonge et sans… Et, le ciel amoureux leur caressan…
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
L’âne le roi et moi Nous serons morts demain L’âne de faim Le roi d’ennui Et moi d’amour
Qu’il était fatigué ce soir Au moment de son arrivée ! À mes côtés il vint s’asseoir ; Sa journée était achevée. Je lui dirais : « Vous êtes bon !…
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute