Une terre fertile Une lune bonne enfant Une mer hospitalière Un soleil souriant Au fil de l’eau
La Cigale, ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau
Bonjour .. je suis gay passions… J adore les beaux mecs .. les gar… J aime sucer le gland crémeux . Le jus du mâle .. le nectar des d… J adore branler quelques bites .
Boulevard de la Chapelle où passe le métro aérien Il y a des filles très belles et b… Les clochards affamés s’endorment… De vieilles poupées font encore le…
Un immense brin d’herbe Une toute petite forêt Un ciel tout à fait vert Et des nuages en osier Une église dans une malle
Cher petit oreiller, doux et chaud… Plein de plume choisie, et blanc !… Quand on a peur du vent, des loups… Cher petit oreiller, que je dors b… Beaucoup, beaucoup d’enfants pauvr…
Beaucoup d’eau a passé sous les po… et puis aussi énormément de sang Mais aux pieds de l’amour coule un grand ruisseau blanc Et dans les jardins de la lune
Ce cœur qui haïssait la guerre voi… Ce cœur qui ne battait qu’au rythm… Voilà qu’il se gonfle et qu’il env… Et qu’il mène un tel bruit dans la… Et qu’il n’est pas possible que ce…
Étranges étrangers Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays loin
Quand tu constates les ravages Du mal qu’autrefois tu m’as fait, Devant cette mer sans rivages, Tu sembles rester stupéfait. Et de tes paupières baissées,
Quand tu dors à que rêves-tu, Toi, leur seule & chère espérance… À laquelle, ô cœur combattu, T’arrêtes-tu de préférence ? Est-ce à celle qui dort toujours
Soleil je t’adore comme les sauvag… à plat ventre sur le rivage Soleil tu vernis tes chromos tes paniers de fruits, tes animaux Fais-moi le corps tanné, salé,
Une tendre langueur s’étire dans l… Sens-tu monter vers toi l’odeur de… Le vent mouillé du soir attriste l… L’eau frissonne et s’écaille aux v… Et les choses ont l’air d’être tou…
Un jour, il y avait un jeune dromadaire qui n’était pas content du tout. La veille, il avait dit à ses amis : « Demain, je sors avec mon père et ma mère, nous allons entendre une confér...
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander
Si c’est aimer, Madame, et de jou… Rêver, songer, penser le moyen de… Oublier toute chose, et ne vouloir… Qu’adorer et servir la beauté qui… Si c’est aimer que de suivre un bo…
Sonnet LXXXVI. Marcher d’un grave pas et d’un gra… Et d’un grave sourire à chacun fai… Balancer tous ses mots, répondre d… Avec un Messer non, ou bien un Me…
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée,
Te regardant assise auprès de ta c… Belle comme une Aurore, et toi co… Je pensai voir deux fleurs d’un mê… Croissantes en beauté, l’une à l’a… La chaste, sainte, belle et unique…
Moi j’avais une lampe et toi la lumière Qui a vendu la mèche ?
La muse Poète, prends ton luth et me donne… La fleur de l’églantier sent ses b… Le printemps naît ce soir ; les ve… Et la bergeronnette, en attendant…
Tes pas, enfants de mon silence, Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine,
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
Assez vu. La vision s’est rencont… Assez eu. Rumeurs des villes, le… Assez connu. Les arrêts de la vie… Départ dans l’affection et le brui…
Elle est retrouvée. Quoi ?– L’Eternité. C’est la mer allée Avec le soleil. Ame sentinelle,
L’oiseau du Colorado Mange du miel et des gâteaux Du chocolat des mandarines Des dragées des nougatines
Voici l’heure où le pré, les arbre… Dans l’air dolent et doux soupiren… Les baies du lierre obscur où l’om… Sentant venir le soir se couchent… Le jet d’eau du jardin, qui monte…
La réalité étant trop épineuse pour mon grand caractère,—je me trouvai néanmoins chez ma dame, en gros oiseau gris bleu s’essorant vers les moulures du plafond et traînant l’aile dans l...
Sonnet. Calmes aux quais déserts s’endorme… Les besognes du jour rude sont ter… Et le bleu Crépuscule aux mains e… Éteint le fleuve ardent qui roulai…