La princesse, dans un palais de ro… Sous les murmures, sous la mobile… Et de corail ébauche une parole ob… Quand les oiseaux perdus mordent s… Elle n’écoute ni les gouttes, dans…
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Dans Venise la rouge, Pas un bateau qui bouge ; Pas un pêcheur dans l’eau, Pas un falot. Seul, assis à la grève,
Au globule de vie toute la chance… tôt décidés que disparus dont elle… C’est comme les perles de ces peti… jusqu’au dernier alvéole une bouch… La tête d’Ogmius coiffée du sangl…
Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…
Chute superbe, fin si douce, Oubli des luttes, quel délice Que d’étendre à même la mousse Après la danse, le corps lisse ! Jamais une telle lueur
Se glisser dans ton ombre à la fav… Suivre tes pas, ton ombre à la fen… Cette ombre à la fenêtre c’est toi… N’ouvre pas cette fenêtre derrière… Ferme les yeux.
Immense et rouge Au-dessus du Grand Palais Le soleil d’hiver apparaît
Une poulette jeune et sans expérie… En trottant, cloquetant, grattant, Se trouva, je ne sais comment, Fort loin du poulailler, berceau d… Elle s’en aperçut qu’il était déjà…
Du soleil soutenant la puissante p… Qui plane et s’abandonne à l’oeil… Regard !... Je bois le vin célest… Le grain mystéri-eux de l’extrême… Je porte au sein brûlant ma lucide…
Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize... Répétez ! dit le maître Deux et deux quatre
Cet amour Si violent Si fragile Si tendre Si désespéré
La confusion morose Qui me servait de sommeil, Se dissipe dès la rose Apparence du soleil. Dans mon âme je m’avance,
Romance. Dansez, fillettes du village, Chantez vos doux refrains d’amour… Trop vite, hélas ! un ciel d’orage Vient obscurcir le plus beau jour.
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n’est pas celui d’un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t’adore, ô ma frivole,
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
Ni vu ni connu Je suis le parfum Vivant et défunt Dans le vent venu ! Ni vu ni connu
Le long du vieux faubourg, où pend… Les persiennes, abri des secrètes… Quand le soleil cruel frappe à tra… Sur la ville et les champs, sur le… Je vais m’exercer seul à ma fantas…
Tes pas, enfants de mon silence, Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine,
Homme libre, toujours tu chériras… La mer est ton miroir ; tu contemp… Dans le déroulement infini de sa l… Et ton esprit n’est pas un gouffre… Tu te plais à plonger au sein de t…
Il y a de grandes flaques de sang… où s’en va-t-il tout ce sang répan… est-ce la terre qui le boit et qui… drôle de soûlographie alors si sage... si monotone...
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
Parmi l’arbre, la brise berce La vipère que je vêtis ; Un sourire, que la dent perce Et qu’elle éclaire d’appétits, Sur le Jardin se risque et rôde,
L’amour est infatigable ! Il est ardent comme un diable, Comme un ange il est aimable. L’amant est impitoyable, Il est méchant comme un diable,
Au poète impeccable Au parfait magicien ès lettres fra… A mon très-cher et très-vénéré Maître et ami Théophile Gautier
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue
Persécuté, proscrit, chassé de son… Pour avoir appelé les choses par l… Un pauvre philosophe errait de vil… Emportant avec lui tous ses biens,… Un jour qu’il méditait sur le frui…
Espère, enfant ! demain ! et puis… Et puis toujours demain ! croyons… Espère ! et chaque fois que se lèv… Soyons là pour prier comme Dieu p… Nos fautes, mon pauvre ange, ont c…
... Je compose en esprit, sous les… L’Admirable !... le feu, des cirq… Il change le mont chauve en august… D’où s’exhale d’un dieu l’acte ret… Si le dieu chante, il rompt le sit…